Muriel Pénicaud, la ministre du travail qui a lancé cette réforme. Licenciée depuis. Ne vous inquiétez surtout pas pour elle, elle était la ministre la plus riche du gouvernement. 7 millions d'euros. Déclarés...
Macron à la télévision :
« Mes chers compatriotes », « Je suis de tout cœur avec vous », « Je vous ai compris » « Faîtes moi confiance » « J'ai changé » etc.
Macron, dans la réalité :
100 milliards de plan de relance uniquement pour les entreprises, mais il plonge dans la misère presque 2 millions de personnes, pour récupérer deux à trois milliards par an. Une misère quand on sait que le déficit actuel de la France, dû à la crise, est actuellement de plus de 460 milliards d'euros !
Alors qu'il est le mieux placé pour savoir qu'au sortir de cette crise (et déjà maintenant, mais on ne vous le dit pas) la répercussion sur les chiffres du chômage est et sera terrible. Encore une fois ce n'est pas une faute de gouvernement, c'est criminel. Cette seule mesure, après un an de souffrances pour ces 1,7 millions de personnes, va avoir pour effet de rendre malades ou de tuer beaucoup d'entre elles.
S'il y avait bien une réforme qu'l convenait d'ajourner, compte tenu du contexte économique actuel et à venir du pays, c'était bien celle-là. Il l'a fait pour la réforme des retraites, mais c'est juste parce qu'il ne pourra pas être réélu sans les retraités. Une fois réélu comptez sur lui pour remettre son métier à l'ouvrage.
Les chômeurs, en revanche, il s'en fiche comme de son premier mensonge. Les chômeurs ont d'autres chats à fouetter que de voter, on n'en parle jamais, on ne les entend pas dans les médias dominants, et la population active les ignore, car elle ne veut surtout pas les rejoindre. De toute façon, il pense comme Trump, dont il plagie la politique économique depuis le début de son mandat : un chômeur, c'est un looser. Et la start-up nation (ouaf !) n'a que faire des loosers.
je le dis depuis longtemps et je le répéterai à chaque fois que j'en aurai l'occasion : ne croyez pas un mot de ce que ce bonimenteur raconte, regardez juste attentivement ce qu'il fait ; vous serez édifiés.
Le lien vers l'article de Libération
« Mes chers compatriotes », « Je suis de tout cœur avec vous », « Je vous ai compris » « Faîtes moi confiance » « J'ai changé » etc.
Macron, dans la réalité :
100 milliards de plan de relance uniquement pour les entreprises, mais il plonge dans la misère presque 2 millions de personnes, pour récupérer deux à trois milliards par an. Une misère quand on sait que le déficit actuel de la France, dû à la crise, est actuellement de plus de 460 milliards d'euros !
Alors qu'il est le mieux placé pour savoir qu'au sortir de cette crise (et déjà maintenant, mais on ne vous le dit pas) la répercussion sur les chiffres du chômage est et sera terrible. Encore une fois ce n'est pas une faute de gouvernement, c'est criminel. Cette seule mesure, après un an de souffrances pour ces 1,7 millions de personnes, va avoir pour effet de rendre malades ou de tuer beaucoup d'entre elles.
S'il y avait bien une réforme qu'l convenait d'ajourner, compte tenu du contexte économique actuel et à venir du pays, c'était bien celle-là. Il l'a fait pour la réforme des retraites, mais c'est juste parce qu'il ne pourra pas être réélu sans les retraités. Une fois réélu comptez sur lui pour remettre son métier à l'ouvrage.
Les chômeurs, en revanche, il s'en fiche comme de son premier mensonge. Les chômeurs ont d'autres chats à fouetter que de voter, on n'en parle jamais, on ne les entend pas dans les médias dominants, et la population active les ignore, car elle ne veut surtout pas les rejoindre. De toute façon, il pense comme Trump, dont il plagie la politique économique depuis le début de son mandat : un chômeur, c'est un looser. Et la start-up nation (ouaf !) n'a que faire des loosers.
je le dis depuis longtemps et je le répéterai à chaque fois que j'en aurai l'occasion : ne croyez pas un mot de ce que ce bonimenteur raconte, regardez juste attentivement ce qu'il fait ; vous serez édifiés.
Le lien vers l'article de Libération