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Quand Facebook utilise des fake news pour "accompagner" les commentaires ne respectant pas la doxa sur les vaccins

J'ai été récemment confronté à cette « mise en garde » erronée. J'en ai immédiatement profité pour écrire un post dénonçant cette fake news. Bizarrement, ce post n'a pas été (encore) censuré par Facebook.



Quand Facebook utilise des fake news pour "accompagner" les commentaires ne respectant pas la doxa sur les vaccins
Ce post n'apprendra rien à ceux qui suivent régulièrement ce site.

Pour ceux dont ce n'est pas le cas je précise que chaque phrase est rigoureusement exacte et ne relève d'aucun complotisme.

Il se trouve que les États en général et le notre en particulier sont plutôt mutiques sur cette question. On les comprend. Mais on n'est pas obligé d'approuver.

Vous pouvez vérifier sur Internet :

Les vaccins ont été mis sur le marché avant la fin de toutes les conditions réglementaires. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'ils ont pu sortir en un temps record. Habituellement il faut plusieurs années avant que tous les tests soient achevés.

Les fabricants de ces vaccins ne sont pas responsables des effets collatéraux nocifs éventuels de leurs vaccins. Vous pouvez également vérifier sur Internet. J'ai appris cela tout au début de la pandémie et cela m'a fortement interloqué. À ce moment à je me suis dit : comment les États peuvent-ils tolérer cela ?

J'ai appris la réponse plus récemment : en fait t ce sont les État qui ont demandé aux fabricants de vaccins de sortir « prématurément » leurs vaccins. Les fabricants n'ont accepté que parce que les États ont proposé de prendre cette violation caractérisée des règles habituelles en matière de vaccins, sous leur responsabilité. Cela ne leur coûte pas cher ; c’est l'ensemble des citoyens européens qui paieront.

Par ailleurs les études nécessaires à la vérification des effets nocifs des vaccins coûtent très cher. C'est pour cela que les études ne se bousculent pas dans ce domaine. En outre, les États étant désormais pénalement responsables, s'il est avéré que ces vaccins ont des effets nocifs pour la santé, vous pensez bien que les États, quels qu'ils soient, s'ils ont financé de telles études, vont s'empresser…de ne pas les publier. Ce qui est déjà arrivé dans l'histoire des vaccins.

Enfin, en matière de vaccins il y a la règle du bénéfices/risques. Un vaccin a toujours des effets nocifs. Comme les médicaments. Nous sommes tous différents les uns des autres, et certains d'entre nous sont déjà malades pour d'autres raisons avant d'être vaccinés. Pour qu'un vaccin soit mis sur le marché il importe que les bénéfices attendus soient largement supérieurs aux risques.

Le problème est qu'on ne peut pas le savoir exactement au moment du lancement du vaccin. Même si les études préalables ont duré plusieurs années, ce qui est la règle générale.

Sauf en ce qui concerne les vaccins contre le Sars-Cov2. Avec la circonstance aggravante que les études préalables ont été volontairement écourtées.

Des effets indésirables ont déjà été détectés (thromboses notamment). La réaction officielle est que le nombre de cas limité de thromboses ne met pas en cause la règle des bénéfices/risques.

Mais dans 1 an, 10 ans, 20 ans ? Qui peut assurer aujourd'hui, que le nombre de cas ne sera pas plus important.

De toutes façons, il sera trop tard pour les malheureux patients qui n'ont pas supporté leur vaccin. Et pour faire jouer la responsabilité des États, après toutes ces années, bon courage aux téméraires qui s'y risqueront.

Ce qui signifie qu'en médecine les vaccins sont une exception caractérisée à la règle encore en vigueur (pour combien de temps ?) qui veut qu'un patient est libre de refuser un traitement ou un médicament. Cette exception est basée sur la primauté du collectif sur l'individuel dans ce domaine. Il faut accepter les vaccins qui nous sont imposés parce que ce serait nécessaire pour le bien de la collectivité.

À cet égard, je dirais que les vaccins contre la Covid sont très mal placés, même de ce point de vue.

En effet, à ce jour, on ne peut pas prouver qu'en se vaccinant on ne contamine pas les autres. Confer un arrêt récent du Conseil d'État qui a reconnu officiellement cette constatation et a en conséquence débouté un particulier à qui on avait refusé de pouvoir voyager alors qu'il était dûment vacciné. Motif de l'arrêt : rien ne prouve,en l'état actuel des choses, que ces vaccins empêchent de contaminer les autres.

Ce qui est tout de même le fondement ultime de ces vaccins !

En conséquence, pour ce qui me concerne, vu que ces vaccins :

  • ont été prématurément mis sur le marché, alors même que certains d'entre eux (Moderna et Pfizer) utilisent des techniques (ARN Messager) inédites et qui n'ont encore jamais été expérimentées sur des millions, voire des milliards de patients.
  • n'empêchent pas d'être de nouveau contaminé
  • n'empêchent pas de contaminer de nouveau les autres.

Tant que ces vaccins ne seront pas obligatoires (et vu ce qui précède ils devraient avoir beaucoup de mal à être rendus obligatoires) je refuserais de me faire vacciner.

J'accepterai à la rigueur de me faire tester (PCR ou antigéniques) pour voyager, car j'aime voyager. Et encore, uniquement vers les pays vers lesquels je voyage depuis longtemps (Madagascar, et la Crète). J’éviterai les pays que je ne connais pas encore et qui imposeront des règles contraignantes dans ce domaine.

Je n'irai pas ou je n'irai plus dans les endroits (restaurants, cinémas, théâtres, concerts, etc.) qui se permettront d'imposer ces tests, ou alors il faudra vraiment que ces tests en vaillent la chandelle. Je jugerai moi-même du ratio attrait/règles contraignantes. Ce que je fais depuis toujours, et dans tous les domaines.

Mon meilleur exemple : après avoir été marié deux fois, et avoir eu deux fois deux enfants, je suis célibataire depuis 25 ans… et j'entends bien le rester.

Concernant les règles anti-Covid, cela ne me gênera pas beaucoup, je déteste les pays aux règles trop contraignantes, de même que les endroits où la foule se presse.

Mardi 25 Mai 2021

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