L'improbable dame Pénicaud, spécialiste des erreurs et des lapsus, a plaidé « une erreur ».
Ce n'était pas une erreur, Madame, mais une faute.
Qui a été soulignée, un comble, par le Medef lui même !
Et par Macron en personne qui a publiquement critiqué le manque « d'humanité » de ses zombies parlementaires.
Il faut connaître les dessous de cette sordide affaire pour mieux comprendre comment fonctionne la Macronie.
Mme Pénicaud, ex-DRH en chef chez Danone, avait voulu protéger les intérêts de son ancien milieu. Pour elle, et les zombies ont approuvé comme un seul homme, ce n'est pas au Medef de payer ce genre de « cadeau » mais à la collectivité, donc à la Sécu, une fois encore.
Malheureusement pour elle et pour Macron, le MEDEF, s'il n'est guère plus humain (ça se saurait) a tout de même un meilleur sens de la communication et a estimé, à raison pour une fois, que la période n'était pas propice à la radinerie patronale. Surtout quand on sait que ce genre de triste événement n'est heureusement pas courant et qu'il ne représenterait qu'une dépense infime pour le patronat.
C'est pourquoi le patron du Medef est personnellement intervenu sur Twitter pour recadrer Pénicaud et ses ressources humaines..
Là-dessus, et on voit bien qui est le vrai patron en France, Macron s'est immédiatement fendu d'une déclaration pour critiquer le manque "d'humanité" de cette mesure. Dont lui, évidemment, serait abondamment pourvu (!) Ben voyons.
Malheureusement pour lui, tout le monde sait maintenant que dans la bande à Macron on ne peut pas pisser sans l'autorisation du patron. Alors une ministre et un projet de loi, bien sûr qu'il était au courant.Il s'agit encore une fois d'un procédé archi connu : du flic gentil et du fic méchant.
En fait : Penicaud coupe les oignons, et Macron pleure. Et l'un comme l'autre, ils l'ont démontré à maintes reprises, sont entièrement dépourvus d'humanité.
Ce qui ne surprendra que les Martiens.
Macron vient de chez Rothschild, où sa mission était de faire du fric, et Penicaud de chez Danone, où sa mission était de "diriger" les ressources humaines.
Les humains sont des ressources ? Et oui, pour un D.R.H, c'est même son fonds de commerce. Pour la direction, c'est simple, c'est toujours plus de fric.
Ainsi donc, pour un DRH, comme pour un employé de chez Rothschild, l'humanité, c'est une ressource, et certainement pas un « projet ».
Le lien vers l'article
Ce n'était pas une erreur, Madame, mais une faute.
Qui a été soulignée, un comble, par le Medef lui même !
Et par Macron en personne qui a publiquement critiqué le manque « d'humanité » de ses zombies parlementaires.
Il faut connaître les dessous de cette sordide affaire pour mieux comprendre comment fonctionne la Macronie.
Mme Pénicaud, ex-DRH en chef chez Danone, avait voulu protéger les intérêts de son ancien milieu. Pour elle, et les zombies ont approuvé comme un seul homme, ce n'est pas au Medef de payer ce genre de « cadeau » mais à la collectivité, donc à la Sécu, une fois encore.
Malheureusement pour elle et pour Macron, le MEDEF, s'il n'est guère plus humain (ça se saurait) a tout de même un meilleur sens de la communication et a estimé, à raison pour une fois, que la période n'était pas propice à la radinerie patronale. Surtout quand on sait que ce genre de triste événement n'est heureusement pas courant et qu'il ne représenterait qu'une dépense infime pour le patronat.
C'est pourquoi le patron du Medef est personnellement intervenu sur Twitter pour recadrer Pénicaud et ses ressources humaines..
Là-dessus, et on voit bien qui est le vrai patron en France, Macron s'est immédiatement fendu d'une déclaration pour critiquer le manque "d'humanité" de cette mesure. Dont lui, évidemment, serait abondamment pourvu (!) Ben voyons.
Malheureusement pour lui, tout le monde sait maintenant que dans la bande à Macron on ne peut pas pisser sans l'autorisation du patron. Alors une ministre et un projet de loi, bien sûr qu'il était au courant.Il s'agit encore une fois d'un procédé archi connu : du flic gentil et du fic méchant.
En fait : Penicaud coupe les oignons, et Macron pleure. Et l'un comme l'autre, ils l'ont démontré à maintes reprises, sont entièrement dépourvus d'humanité.
Ce qui ne surprendra que les Martiens.
Macron vient de chez Rothschild, où sa mission était de faire du fric, et Penicaud de chez Danone, où sa mission était de "diriger" les ressources humaines.
Les humains sont des ressources ? Et oui, pour un D.R.H, c'est même son fonds de commerce. Pour la direction, c'est simple, c'est toujours plus de fric.
Ainsi donc, pour un DRH, comme pour un employé de chez Rothschild, l'humanité, c'est une ressource, et certainement pas un « projet ».
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