La ministre rwandaise des Affaires étrangères a été désignée ce vendredi nouvelle secrétaire générale de l'Organisation internationale de la Francophonie. Propulsée par Emmanuel Macron, la candidature rwandaise fait débat.
Et en plus Macron se vante de réinventer la francophonie !
Il faut savoir que le Rwanda a fait supprimer l'apprentissage du français dans les écoles du pays.
Et que par ailleurs, le moins qu'on puisse dire du Rwanda, c'est que ce n'est pas, mais alors pas du tout, le paradis des droits de l'homme.
De fait, tout cela est encore une magouille, évidemment.
Sous prétexte de placer une Africaine à la tête de l'Organisation Internationale de la Francophonie, à la place d'une Canadienne francophone et blanche, on connait les rapports troubles qu'ont entretenu le Rwanda et la France lors du génocide de triste mémoire.
Il se trouve que M. Kagame en connaît un sacré bout sur la question et qu'il n'ignore rien du comportement plutôt suspect de notre beau pays des droits de l'homme dans cette sordide affaire. Qui s'est traduite quand même par des millions de morts.
Alors, embrassons-nous Folleville... même si ce baiser a un goût plutôt mortifère. Officiellement la France se réconcilie avec le Rwanda. En fait, en échange de la présidence de la francophonie le Rwanda n'embêtera plus la France avec quelques millions de fantômes du passé.
De plus, tout le monde connaît la passion anglophile qu'entretient Macron depuis toujours.
Celui qui veut faire de la France une start-up (sic) nation ne peut que se réjouir d'enterrer, sans tambour ni trompettes, la francophonie. Tout en proclamant, " en même temps" qu'il réinvente le concept.
Parce que confier le sort de la francophonie au régime de Kagame, c'est comme si on confiait la protection des droits des femmes à l'Arabie Saoudite.
Et en plus Macron se vante de réinventer la francophonie !
Il faut savoir que le Rwanda a fait supprimer l'apprentissage du français dans les écoles du pays.
Et que par ailleurs, le moins qu'on puisse dire du Rwanda, c'est que ce n'est pas, mais alors pas du tout, le paradis des droits de l'homme.
De fait, tout cela est encore une magouille, évidemment.
Sous prétexte de placer une Africaine à la tête de l'Organisation Internationale de la Francophonie, à la place d'une Canadienne francophone et blanche, on connait les rapports troubles qu'ont entretenu le Rwanda et la France lors du génocide de triste mémoire.
Il se trouve que M. Kagame en connaît un sacré bout sur la question et qu'il n'ignore rien du comportement plutôt suspect de notre beau pays des droits de l'homme dans cette sordide affaire. Qui s'est traduite quand même par des millions de morts.
Alors, embrassons-nous Folleville... même si ce baiser a un goût plutôt mortifère. Officiellement la France se réconcilie avec le Rwanda. En fait, en échange de la présidence de la francophonie le Rwanda n'embêtera plus la France avec quelques millions de fantômes du passé.
De plus, tout le monde connaît la passion anglophile qu'entretient Macron depuis toujours.
Celui qui veut faire de la France une start-up (sic) nation ne peut que se réjouir d'enterrer, sans tambour ni trompettes, la francophonie. Tout en proclamant, " en même temps" qu'il réinvente le concept.
Parce que confier le sort de la francophonie au régime de Kagame, c'est comme si on confiait la protection des droits des femmes à l'Arabie Saoudite.