En effet, pendant cinq ans, Macron, n'a eu de cesse de diviser pour mieux régner :
J'en oublie certainement.
Et maintenant, parce que les Français, pour cette même raison, lui ont refusé la majorité absolue, il ose invoquer l'unité nationale.
Cet homme a une telle haute idée de lui-même et un tel mépris pour son peuple qu'il ne peut même pas envisager que ses stratagèmes de Clausewitz au petit pied ne trompent plus personne en France.
Et, encore moins à l'étranger où sa mégalomanie agace prodigieusement la plupart des chefs d'État étrangers. Quand elle ne fait pas s'étouffer de rire la presse internationale.
Macron va devoir s'habituer à ne plus gouverner ce pays tout seul, mais je suis persuadé qu'il ne s'y résoudra jamais.
Parce que les autocrates ne changent jamais.
Ça se saurait : les exemples ont été malheureusement multiples dans l'histoire de cette planète mais les revirements rarissimes.
Avec les armes dont disposent désormais les députés, cela nous promet un quinquennat pour le moins agité, mais, pour une fois, passionnant.
Les Français vont, je l'espère, commencer à s'intéresser sérieusement à la (vraie) politique.
En effet, l'Assemblée nationale n'étant plus dominée par une majorité absolue de députés obéissants sans discuter à leur chef vénéré, en langage Gaullien, des « godillots », les véritables questions vont enfin être posées, et tout à fait publiquement.
Ainsi, les Français vont découvrir que tout ce qui va se discuter dorénavant, et âprement, à l'Assemblée les concerne directement. Et, particulièrement, leur porte-monnaie.
Ils comprendront également que tout ce que Macron a fait lors de son premier mandat obéissait très exactement à la citation de Paul Valéry sur la politique :
«La politique, c'est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde»
- les Français et leurs représentants
- les députés et les sénateurs
- les députés entre eux
- les salariés et leurs patrons
- les Français et leur police
- les Français et leur justice
- les Français contre les Français
- les Français et leur président (!)
J'en oublie certainement.
Et maintenant, parce que les Français, pour cette même raison, lui ont refusé la majorité absolue, il ose invoquer l'unité nationale.
Cet homme a une telle haute idée de lui-même et un tel mépris pour son peuple qu'il ne peut même pas envisager que ses stratagèmes de Clausewitz au petit pied ne trompent plus personne en France.
Et, encore moins à l'étranger où sa mégalomanie agace prodigieusement la plupart des chefs d'État étrangers. Quand elle ne fait pas s'étouffer de rire la presse internationale.
Macron va devoir s'habituer à ne plus gouverner ce pays tout seul, mais je suis persuadé qu'il ne s'y résoudra jamais.
Parce que les autocrates ne changent jamais.
Ça se saurait : les exemples ont été malheureusement multiples dans l'histoire de cette planète mais les revirements rarissimes.
Avec les armes dont disposent désormais les députés, cela nous promet un quinquennat pour le moins agité, mais, pour une fois, passionnant.
Les Français vont, je l'espère, commencer à s'intéresser sérieusement à la (vraie) politique.
En effet, l'Assemblée nationale n'étant plus dominée par une majorité absolue de députés obéissants sans discuter à leur chef vénéré, en langage Gaullien, des « godillots », les véritables questions vont enfin être posées, et tout à fait publiquement.
Ainsi, les Français vont découvrir que tout ce qui va se discuter dorénavant, et âprement, à l'Assemblée les concerne directement. Et, particulièrement, leur porte-monnaie.
Ils comprendront également que tout ce que Macron a fait lors de son premier mandat obéissait très exactement à la citation de Paul Valéry sur la politique :
«La politique, c'est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde»