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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



Les cotes de popularité d'Emmanuel Macron et Édouard Philippe en baisse, au plus bas depuis mai 2017

Un article de France Info



Jupiter (c'est le petit) se croit malin mais à côté de Trump... c'est un petit garçon
Jupiter (c'est le petit) se croit malin mais à côté de Trump... c'est un petit garçon
Sûr que Macron n'est pas prêt de remonter dans les sondages.

Au lieu de profiter du départ d'Hulot et de l'exfiltration de Rugy de l'Assemblée nationale pour redorer un peu son image il s'enfonce de plus en plus en nommant Ferrand, un grognard de la première heure, toujours mis en examen et maintenu en sursis (!) par Macron qui, c'est certain, fait ce qu'il faut pour retenir la main de la justice. Laquelle peut se montrer beaucoup plus rapide quand on le veut vraiment.

Il aurait pu se refaire la cerise en faisant nommer Pompili par ses godillots, mais non. Son amour des femmes ne va pas jusqu'à placer l'une d'entre elles à la troisième place hiérarchique de l'Etat.
De plus, cette dame n'est pas des plus malléables et l'aventure Hulot lui a servi de (mauvaise) leçon.

Quant aux zombies qui forment sa majorité, ils ont fait la preuve, une fois de plus, de leur soumission sans failles à celui sans qui ils ne seraient rien.

Macron, l'homme (chanceux) des départs fulgurants se révèle à l'usage incapable de tenir la distance.

Il prend un malin plaisir à clamer à la moindre occasion qu'il a été élu par plus de 60% des français. Mais beaucoup d'observateurs n'ont pas manqué de souligner que si l'on tient compte de tous les facteurs et notamment de l’abstention historique lors de cette élection, Macron a été élu par 23% des français. Seulement ! Par ailleurs, contrairement à ce qu'il aime à répéter, la plupart des 23% qui l'ont élu ne l'ont certainement pas élu pour le programme qu'il a mis tellement de temps à présenter, mais essentiellement pour barrer la route à Le Pen.

Sa désastreuse cote de popularité est désormais à l'exacte mesure de son score réel lors de la dernière élection présidentielle, à savoir un peu plus de 20 %. De plus, le score piteux de Macron ne doit rien aux circonstances, comme celui de l'élection présidentielle, puisque les français depuis un an ont largement eu l'occasion de juger en connaissance de cause le mise en application effective, et au pas de course, de son programme présidentiel.

Détail qui ne doit pas plaire à Macron : question popularité, Trump fait quasiment deux mois mieux que lui en étant à plus de 40%, après deux ans de mandat ! La honte !

Ça va être très long pour lui, et pour nous, avant d'atteindre ce qu'il pense être l'arrivée, mais ce qui devrait marquer, je l'espère, et je ne suis pas le seul, la date de son départ définitif de la politique française. Et son retour, n'en doutez pas une seconde, au plus haut niveau de l'oligarchie financière.

A condition, bien entendu, que les Français continuent d'ouvrir leurs yeux et de prendre constamment en compte non pas ce qu'il dit, mais ce qu'il fait.

Mais comme disait Chirac en son temps, putain, quatre ans !


Lire ici l'article de France Info


Jeudi 13 Septembre 2018

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