Je n'ai pas été le seul a être étonné, dans un premier temps seulement, par les réactions pour le moins étranges des plus hautes autorités françaises en ce qui concerne un incident que l'on peut qualifier d'anodin, voire de taquin, par rapport aux nombreuses amputations, énucléations et même décès de manifestants, survenus au cours de manifestations en France, depuis maintenant plus d'un an.
Ce matin j'ai entendu sur France Inter, dans l'émission "L'instant M" un billet de Brunot Donnet qui nous éclaire, brillamment, sur les motifs réels de cette soudaine et fort inhabituelle sévérité de nos actuels gouvernants à l'égard de leur police.
Je l'ai même enregistré, avant qu'il ne disparaisse. Ce qui est plutôt fréquent en ce moment.
Vous trouverez également le lien vers la vidéo de cette "agression inacceptable". Et pourtant si pratique pour les communicants qui entourent nos gouvernants.
Je constate que ce n'est pas la première fois que nos autorités pratiquent ce genre de manœuvre sournoise, mais tellement éculée (ce n'est pas un gros mot) qui consiste, pour cacher les vrais coupables, à s'en prendre à un lampiste ou autre bouc émissaire.
Souvenez-vous de la comparution récente et accélérée de deux policiers condamnés (gentiment) l'un pour avoir lancé un pavé, l'autre pour avoir giflé un manifestant. Deux comportements qui avaient déjà horrifié nos gouvernants.
Actes regrettables certes, mais qui ne méritaient ni cet excès d'honneur, ni cette indignité si on les compare aux vraies violences policières. Dont aucune, depuis plus d'un an, n'a fait l'objet d'une traduction devant les tribunaux.
Pour info, en mars 2019, 483 cas de violences policières ont été recensées par David Dufresne, le spécialiste de ces questions. Depuis cette datte, il s'est passé 10 mois et se sont ajoutées de très nombreuses nouvelles violences policières. 676 morts à la suite interventions policières depuis 43 ans. Sans compter les dizaines de milliers de blessés.
Voir ici le bilan à ce jour, ou presque, des violences policières[
Ce matin j'ai entendu sur France Inter, dans l'émission "L'instant M" un billet de Brunot Donnet qui nous éclaire, brillamment, sur les motifs réels de cette soudaine et fort inhabituelle sévérité de nos actuels gouvernants à l'égard de leur police.
Je l'ai même enregistré, avant qu'il ne disparaisse. Ce qui est plutôt fréquent en ce moment.
Vous trouverez également le lien vers la vidéo de cette "agression inacceptable". Et pourtant si pratique pour les communicants qui entourent nos gouvernants.
Je constate que ce n'est pas la première fois que nos autorités pratiquent ce genre de manœuvre sournoise, mais tellement éculée (ce n'est pas un gros mot) qui consiste, pour cacher les vrais coupables, à s'en prendre à un lampiste ou autre bouc émissaire.
Souvenez-vous de la comparution récente et accélérée de deux policiers condamnés (gentiment) l'un pour avoir lancé un pavé, l'autre pour avoir giflé un manifestant. Deux comportements qui avaient déjà horrifié nos gouvernants.
Actes regrettables certes, mais qui ne méritaient ni cet excès d'honneur, ni cette indignité si on les compare aux vraies violences policières. Dont aucune, depuis plus d'un an, n'a fait l'objet d'une traduction devant les tribunaux.
Pour info, en mars 2019, 483 cas de violences policières ont été recensées par David Dufresne, le spécialiste de ces questions. Depuis cette datte, il s'est passé 10 mois et se sont ajoutées de très nombreuses nouvelles violences policières. 676 morts à la suite interventions policières depuis 43 ans. Sans compter les dizaines de milliers de blessés.
Voir ici le bilan à ce jour, ou presque, des violences policières[
Le billet de Bruno Donnet.mp3 (8.76 Mo)