Judas reçoit les 30 deniers : vitrail de l'église de Saint Ouen les Iffs
Cette condamnation à mort d'Anticor s'est déroulée de la façon suivante :
En son temps, Jean Castex avait autorisé l'agrément d'Anticor, indispensable pour que cette association puisse efficacement agir.
Deux « dissidents » d'Anticor, en vérité des personnes qui ont retourné leur veste à l'aide d'arguments vraisemblablement sonnants et trébuchants, ont porté plainte contre Anticor. La justice (?) s'est empressée d'annuler l'agrément d'Anticor.
Le ministre de la Justice, Dupont-Moretti s'est « déporté » pour cause de risque de conflits d'intérêt sur Dame Borne, qui s'est elle-même déportée sur la ministre des Affaires étrangères.
Ce genre de déport à répétition porte un nom : « se refiler la patate chaude». C'est-à-dire se défaire de quelqu'un ou de quelque chose de gênant.
La dernière réceptrice de la patate chaude, Mme Colonna a fini par… ne pas répondre du tout.
Ces gens-là n'ont même pas le courage de leurs opinions. lls n'ont pas condamné à mort Anticor, ils ont juste refusé de se prononcer.
Ils n'ont pas assassiné Anticor, ce sont les Judas de l'association elle-même, confortés par la justice, qui l'on fait. Je serai curieux de savoir à combien sont cotés les 30 deniers, de nos jours.
Résumé de l'aticle de FranceSoir, par Harpa A.I
L'article traite du non-renouvellement de l'agrément de l'association anticorruption Anticor, ce qui réduit à néant sa capacité à intervenir efficacement dans des affaires de lutte contre la corruption en France.
Cette décision a été fortement critiquée, considérée comme un « cadeau de Noël pour les corrupteurs” et contestée par l'ONG.
● Le gouvernement français n'a pas renouvelé l'agrément d'Anticor, une association anticorruption, ce qui limite sa capacité à agir dans des affaires de corruption.
● La ministre des Affaires étrangères avait jusqu'à une date limite pour prendre cette décision et n'a pas répondu à la demande de l'ONG, ce qui équivaut à un refus implicite.
● Malgré cela, Anticor peut toujours signaler des affaires à la justice et porter plainte.
● - Cependant, l'absence d'agrément signifie qu'elle ne peut plus se constituer partie civile, ce qui était précédemment possible pour contourner le parquet.
● - Les membres d'Anticor considèrent cette décision comme politique et contestent son fondement.
● - Ils estiment que l'association remplit toutes les conditions pour être agréée et demandent une autorité administrative indépendante pour statuer sur de telles demandes.
● - L'article évoque également les implications de cette décision pour d'autres affaires de corruption auxquelles Anticor est associée.
L'article complet peut être consulté sur le site FranceSoir pour plus de détails.
Voir ici (accès gratuit)
En son temps, Jean Castex avait autorisé l'agrément d'Anticor, indispensable pour que cette association puisse efficacement agir.
Deux « dissidents » d'Anticor, en vérité des personnes qui ont retourné leur veste à l'aide d'arguments vraisemblablement sonnants et trébuchants, ont porté plainte contre Anticor. La justice (?) s'est empressée d'annuler l'agrément d'Anticor.
Le ministre de la Justice, Dupont-Moretti s'est « déporté » pour cause de risque de conflits d'intérêt sur Dame Borne, qui s'est elle-même déportée sur la ministre des Affaires étrangères.
Ce genre de déport à répétition porte un nom : « se refiler la patate chaude». C'est-à-dire se défaire de quelqu'un ou de quelque chose de gênant.
La dernière réceptrice de la patate chaude, Mme Colonna a fini par… ne pas répondre du tout.
Ces gens-là n'ont même pas le courage de leurs opinions. lls n'ont pas condamné à mort Anticor, ils ont juste refusé de se prononcer.
Ils n'ont pas assassiné Anticor, ce sont les Judas de l'association elle-même, confortés par la justice, qui l'on fait. Je serai curieux de savoir à combien sont cotés les 30 deniers, de nos jours.
Résumé de l'aticle de FranceSoir, par Harpa A.I
L'article traite du non-renouvellement de l'agrément de l'association anticorruption Anticor, ce qui réduit à néant sa capacité à intervenir efficacement dans des affaires de lutte contre la corruption en France.
Cette décision a été fortement critiquée, considérée comme un « cadeau de Noël pour les corrupteurs” et contestée par l'ONG.
● Le gouvernement français n'a pas renouvelé l'agrément d'Anticor, une association anticorruption, ce qui limite sa capacité à agir dans des affaires de corruption.
● La ministre des Affaires étrangères avait jusqu'à une date limite pour prendre cette décision et n'a pas répondu à la demande de l'ONG, ce qui équivaut à un refus implicite.
● Malgré cela, Anticor peut toujours signaler des affaires à la justice et porter plainte.
● - Cependant, l'absence d'agrément signifie qu'elle ne peut plus se constituer partie civile, ce qui était précédemment possible pour contourner le parquet.
● - Les membres d'Anticor considèrent cette décision comme politique et contestent son fondement.
● - Ils estiment que l'association remplit toutes les conditions pour être agréée et demandent une autorité administrative indépendante pour statuer sur de telles demandes.
● - L'article évoque également les implications de cette décision pour d'autres affaires de corruption auxquelles Anticor est associée.
L'article complet peut être consulté sur le site FranceSoir pour plus de détails.
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