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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



L’eau à boire : entre pollution invisible et solutions individuelles

On l’oublie trop souvent : l’eau du robinet, censée être la plus surveillée de nos denrées, n’est pas exempte de pollutions. Les analyses officielles révèlent régulièrement la présence de résidus médicamenteux, de pesticides, de microplastiques et de perturbateurs endocriniens.



Les systèmes domestiques de filtration d'eau  : Image GPT 5
Les systèmes domestiques de filtration d'eau : Image GPT 5

L’eau à boire : entre pollution invisible et solutions individuelles

 

Les usines de traitement font leur possible, mais elles travaillent surtout sur les bactéries et les polluants massifs. Quant aux contaminants émergents, ils passent à travers les mailles du filet. Les bouteilles en plastique ne sont pas une alternative sérieuse : chères, polluantes, et souvent de qualité médiocre, elles ne font qu’aggraver le problème mondial du plastique.

Dans ce contexte, l’individu isolé – qu’il soit étudiant, retraité, célibataire ou simplement soucieux de sa santé – a tout intérêt à se tourner vers des systèmes de purification personnelle. Voyons ce qui existe, et ce qui mérite vraiment le détour.

Les carafes filtrantes : la fausse bonne idée

 

Les carafes type BRITA promettent monts et merveilles, mais elles se contentent de retenir le chlore, d’améliorer un peu le goût et parfois de réduire le calcaire. Pour le reste, elles sont inefficaces. Les cartouches doivent être changées tous les mois, ce qui en fait un abonnement déguisé. Cerise sur le gâteau : certaines études ont montré que les filtres usés pouvaient devenir des nids à bactéries. Bref, une arnaque écologique et sanitaire, bien huilée par le marketing.

Les filtres sur robinet et les systèmes sous-évier

 

Il existe des filtres à charbon actif ou à céramique qu’on installe directement sur le robinet, ou sous l’évier avec une petite bonbonne. Leur efficacité dépend du modèle : les meilleurs retiennent certains pesticides et métaux lourds, mais rarement les résidus médicamenteux ou les microplastiques. De plus, l’installation est contraignante et leur entretien régulier indispensable. C’est une solution plus adaptée aux familles qu’aux individus isolés.

L’osmose inverse : la méthode radicale

 

C’est le « gold standard » des purifications domestiques. L’eau est conduite à travers une membrane qui retient quasiment toutes les molécules indésirables. Résultat : une eau très pure, presque trop pure. Parce que l’osmose inverse retire aussi les sels minéraux essentiels. On obtient donc une eau « dématérialisée » qu’il faudrait reminéraliser pour un usage quotidien. Le procédé consomme beaucoup d’eau (jusqu’à 4 litres rejetés pour 1 litre buvable), et demande un système imposant, mieux adapté à une famille nombreuse qu’à un appartement d’étudiant.

La désinfection par UV : simple mais limitée

 

Les lampes à UV, très utilisées en laboratoire, neutralisent les bactéries et virus. Mais, elles n’ont aucun effet sur les pesticides, les nitrates ou les résidus chimiques. Pratique pour les voyageurs dans des zones à risque microbiologique, néanmoins insuffisant pour répondre à la pollution « invisible » de nos robinets occidentaux.

La solution individuelle validée scientifiquement : lavie.bio

 

La société française Lavie.bio propose une approche originale : utiliser la lumière pour transformer le chlore de l’eau du robinet en oxygène actif. Ce dernier oxyde et neutralise pesticides, résidus médicamenteux, perturbateurs endocriniens et autres polluants émergents. Résultat : une eau purifiée, débarrassée de l’odeur de chlore, mais conservant ses minéraux naturels.

Contrairement aux carafes filtrantes, le système lavie.bio ne nécessite ni cartouches ni consommables. On insère simplement la bouteille en verre dans le cylindre lumineux, et la magie de la photolyse opère en une quinzaine de minutes. L’efficacité a été testée et validée par des laboratoires indépendants, ce qui n’est pas si courant dans ce secteur où les promesses sont souvent fumeuses.

Pour l’individu isolé, c’est une solution idéale : compacte, écologique, économique sur la durée et scientifiquement solide. Dans un monde où la solitude gagne du terrain – célibataires, retraités seuls, nomades numériques – cette approche individuelle a de beaux jours devant elle.

Conclusion : boire l’eau sans avaler le reste du monde

 

Purifier son eau n’est plus un luxe, c’est une mesure de bon sens. Les familles nombreuses pourront s’équiper de systèmes lourds comme l’osmose inverse, mais pour la majorité des individus, la solution la plus rationnelle reste un procédé simple, efficace, et sans maintenance chronophage. Sur ce terrain, la technologie lavie.bio marque des points : elle combine sérieux scientifique, respect de l’environnement et praticité au quotidien.

En somme, purifier l’eau, c’est un peu comme voter : un geste individuel qui a des répercussions collectives. Parce que chaque bouteille plastique évitée et chaque contaminant neutralisé est une petite victoire dans un monde saturé de pollutions invisibles.

 

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En consultant le site Lavie.com j'ai constaté des nouveautés, à savoir :

     ● Un nouveau filtre : Opropre (cartouche) et

      Turquoise : à brancher sous l'évier. 
 
Sombre marketing ou suppléments très utiles ? J'ai demandé son avis à GPT 5. Il est très clair.
 


Le contexte : l’UV-A seul, c’est souvent très bon, mais pas universel


Le purificateur lavie.bio originel fonctionne via les UV‑A qui transforment le chlore en radicaux oxydants. Ces derniers s’attaquent aux bactéries, virus, chlore résiduel, pesticides et traces de médicaments, tout en préservant les minéraux de l’eau.

Une belle performance, mais ces radicaux ne sont pas des sorciers contre les polluants physiques et « éternels » comme les PFAS (substances per‑ et polyfluoroalkylées), ni tous les microplastiques ou métaux lourds.


Ce que les nouveaux filtres Opropre Onyx & Turquoise apportent

 

Opropre Onyx

 

  • Filtration du charbon actif de noix de coco. Efficace contre :
     
    • Métaux lourds
       
    • Microplastiques / nanoplastiques
       
    • Pesticides

      Mais pas forcément contre les PFAS, qui restent trop persistants.

       

Opropre Turquoise  

 

  • Même charbon actif, plus une résine ionique : conçue spécialement pour capturer les PFAS (ces fameux “polluants éternels”).
     
  • Installée sous l’évier, vendue en pack avec porte-filtre et cartouches consigné à remplacer tous les 6 mois (ou 10 m³ d’eau), pour ensuite les renvoyer : système écolo, recyclage actif.
     
  • D’après la boîte : surface d’adsorption énorme (1 000 m²/g), qualité lab, charbon activé par Jacobi Carbons.
     
 

Synthèse comparée
 

Technologie UV-A seule Opropre Onyx Opropre Turquoise
Bactéries / virus Oui Non Non + UV-A possible
Chlore / goûts / médicaments Oui Partiellement Partiellement + UV-A
Métaux lourds Partiellement Oui Oui
Microplastiques Partiellement Oui Oui
PFAS Faible ou non Non Oui
 


Alors, est-ce du business déguisé… ou une vraie plus-value ?


Le système UV-A seul est déjà très solide pour l'usage quotidien (chloré, micro-organismes, goût). Mais maintenant que la conscience collective se tourne vers les PFAS — contaminations invisibles, potentiellement toxiques, durables — le combo UV-A + filtrage Opropre offre une solution bien plus complète.

Ce n’est pas juste un accessoire marketing :
 
  • C’est efficace : chaque composant cible un type de polluant spécifique, avec des tests et qualité de matériaux.
     
  • C’est raisonné : système consigné, recyclage, charbons testés, absence de plastique à jeter tous les mois, etc.
     
  • C’est adapté à une conception écologique, mais demande un abonnement « utile » (remplacement + retour), pas un opium consommable.

     
Bien sûr, un système sous-évier, des frais à prévoir… Mais si l'on veut vraiment dormir sur ses deux oreilles, surtout si l'on est concerné par les PFAS, c’est moins du bizness que du bouclier polymathique : chimie, ingénierie et écologie.


En guise de conclusion pragmatique :
 

Non, ce n’est pas SOLO un coup de com’. L’option Turquoise, associée au purificateur UV-A, c’est un peu comme tolérer les moustiques quand on peut se sauver avec une lutte intégrée— bactéries, goût, PFAS, plastique, tout y passe.

N.D.L.R

Le système Lavie original, c'est déjà beaucoup mieux que les bouteilles en plastique. Je ne parle même pas de l'eau du robinet qui n'est plus du tout adaptée aux nouvelles pollutions avérées : microsplatiques, PFAs, métaux lourds.

Perso,nellement, j'ai acheté il y a déjà longtemps la bouteille de 50 cl et le système de photolyse. 50 cl parce que, selon la médecine chinoise, et elle a plusieurs milliers d'années d'expérience, nous buvons trop d'eau et cela fatigue nos reins, organe capital de notre organisme. Ainsi, le temps que je boive mes 50 cl ma bouteille est de nouveau prêtes pour un autre remplissage.

J'achèterai bientôt la cartouche à 45 €, rechargeable pur améliorer ma protection.

Après mon très proche déménagement vers l'île de La Palma, le 1er octobre prochain, je ferai installer le système sous évier. 
 

Résumé de l'article, par Recall.ai
 

Mercredi 3 Septembre 2025

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