
✨ La différence entre rester par habitude et choisir la paix du cœur.
🌿 Comment la solitude consciente peut devenir une source de force, de clarté et de guérison.
💡 Le pouvoir de dire “non” à ce qui vole ta sérénité et “oui” à l’amour de soi.
🕊️ Pourquoi la maturité est le moment idéal pour vivre l’amour le plus authentique et libre de ta vie.
Si vous voulez transformer la solitude en alliée, créer des liens plus vrais et embrasser pleinement ta liberté intérieure, alors cette vidéo est faite pour vous.
Être en couple après 60 ou 70 ans pourrait être la plus grande erreur de votre vie !
En France et ailleurs, la société croit souvent que, pour être heureux, il faut être en couple, surtout après 60 ou 70 ans. Pourtant, comme le rappelle la pensée de Carl Jung, se conformer à cette norme peut priver de la meilleure période de notre vie. Jung nous invite à tourner la seconde moitié de notre existence vers l’authenticité, la liberté et la découverte du soi, plutôt que vers la répétition de schémas anciens ou la soumission à la pression sociale.
Repenser la solitude
La solitude après 60 ans, loin d’être une fatalité ou un drame, peut, selon Jung, devenir source de plénitude et d’individuation. Trop restent en couple par peur du vide ou pour rassurer l’entourage, aboutissant à la “solitude accompagnée”, la forme la plus cruelle d’isolement. Il est temps d’oser embrasser la solitude comme un espace de liberté, de sérénité et de redécouverte de soi.
Points-clés de réflexion
- Libérer les masques sociaux : à la maturité, on gagne le droit d’être soi et de refuser des relations inutiles ou aliénantes.
- Revoir sa peur de la solitude : ce n’est pas la solitude le problème, mais la peur d’être face à soi-même. On y trouve pourtant paix et sérénité.
- Ne plus subir la pression sociale : combien restent ou se remettent en couple “par principe”, au prix de leur paix ou de leur énergie ? Les études montrent que le bonheur à l’âge mûr dépend plus de la qualité que de la quantité des relations.
- Développer l’amitié et la communauté : les liens sincères, amicaux ou communautaires, sont tout aussi essentiels pour l’épanouissement.
- Oser le non et l’individuation : savoir refuser les relations ou situations qui volent la paix, et reprendre contact avec son être profond.
Conseils pratiques
Ce n’est pas l’amour qui constitue une erreur, mais, de le confondre avec un besoin, une présence avec une connexion, ou encore de la compagnie avec la liberté. Se réinventer, cultiver son autonomie émotionnelle et redéfinir ses besoins sont les clés pour une vie riche et féconde après 60 ans.
Conclusion
Cet article, nourri de mon expérience personnelle, vise à déconstruire un mythe social et à offrir une perspective stimulante à tous ceux qui osent vivre autrement après 60 ans.
En ce qui me concerne, j’ai choisi la solitude depuis 25 ans.
D’après les statistiques, je devrais être mort ou en très mauvais état depuis longtemps.
Je vis seul depuis mon deuxième (et dernier) divorce, il y a 25 ans. De plus, je suis expatrié depuis 2009, dans des pays dont je ne parle pas la langue : Thaïlande d’abord, puis Crète, puis Espagne, depuis 2018.
En Thaïlande, j’avais encore quelques amis, mais en Grèce, puis en Espagne, aucun.
Mais, d’une part, je ne m’ennuie jamais : entre le sport, tous les jours, pour mes jambes, et ce site Internet pour lequel j'écris au moins un article tous les jours, pour ma tête, je n'ai vraiment pas le temps de m’ennuyer. Je me lève quotidiennement avant 7 heures et je m’endors rarement avant minuit.
D’autre part, pour ce qui iest des relations sociales, en ce qui me concerne, elles sont toutes virtuelles. Et, croyez-moi, ce ne sont pas les pires. Les amitiés virtuelles peuvent durer très longtemps. En revanche, ce n’est pas du tout le cas, des fâcheries virtuelles, qui peuvent être très rapides.
Enfin, pour ce qui est de la sexualité, qui chez moi est encore très vivace, si vous lisez ma rubrique sexuelle sur ce site, vous savez que depuis plus de 15 ans, grâce à ma découverte du point P, j'ai délibérément opté pour l’autosexualité heureuse.
L’autosexualité, dont je parle souvent sur ce site, pimentée par le plaisir prostatique, c’est le plaisir assuré, la liberté, et sans aucune protection, la sérénité totale en ce qui concerne les M.S.T. Sans oublier jamais que cette sexualité-là n’a pas de prix…
Ce qui, au demeurant, ne m’empêche nullement de déroger à mes habitudes lorsque je vais à Madagascar, par exemple. Mais, la dernière fois que j’y suis allé, c’était en … 2018. Ce qui, vous en conviendrez, n’a rien à voir avec une addiction.
J’ajoute que, pour certaines personnes comme moi, la vie à deux que j’ai bien connue, voire le cocooning, ne me réussit pas du tout. Lors de mes dernières années de mariage, je fumais comme un pompier, je buvais comme un trou et j’étais gros et gras comme une outre. Je dépassais les 90 kg. Depuis que je vis seul, j’ai retrouvé mon poids de jeune homme : 68 kg pour 1,78m.
Dernier détail, qui a son importance, quand on vit seul, on est, automatiquement, deux fois moins pauvre !
Enfin, si j’étais resté marié, je n’aurais jamais pu connaître les magnifiques pays que sont la Thaïlande, la Grèce et l’Andalousie. Ma seconde épouse m'a suivi lorsqu’après seulement 4 ans d'ancienneté j’ai été nommé en Martinique, puis à Saint Barth et St Martin, durant 15 ans. Elle n’a pas tenu 4 ans à St Barth. Elle m’a quitté pour revenir en métropole. Elle est revenue ensuite à St Martin, mais elle n’aima pas cela du tout. Elle fut ravie quand nous sommes revenus, en métropole, à Romans s/Isère mais notre rupture fut définitive quand je fus nommé… à la Réunion. Où je suis resté, seul, pendant 16 ans. Et, où j’ai découvert Madagascar.
J’ai ensuite choisi d’émigrer en Andalousie, que j’ai adorée, mais ce qui ne m’a pas empêché de déménager pour Càceres, au centre de l'Espagne. Où je ne suis resté qu’un an : trop froid l’hiver, trop chaud l’été. Ma seule erreur, à ce jour, parmi tant de déménagements.
En ce moment, je suis sur le ferry, avec mon déménagement (très simplifié) dans ma voiture et je vogue vers l'île de la Palma, Canaries, où j’ai trouvé un superbe appartement dans une très tranquille localité : Tazacorte, dont je vous parlerai très bientôt sur ce site.
Loin de moi tout prosélytisme : chacun fait comme il l'entend, du moins je leur souhaite. Quand c’est voulu et qu’on l’assume pleinement, la vie à deux peut s’avérer délicieuse. Mais, vous conviendrez avec moi que ce n’est pas si souvent le cas.
Fort heureusement pour les femmes, la plupart des hommes détestent vivre seuls. Les hommes célibataires et heureux de l’être sont plutôt rares et je suis très heureux d’avoir réalisé cela, bien avant qu’il ne soit trop tard.
Bien sûr, je mourrai seul, m'a-t-on souvent répété. Les femmes, le plus souvent.
Mais, finalement, on est rarement accompagné quand on meurt. Et, le célibataire endurci que je suis est habitué depuis très longtemps à s’endormir sans qu’on lui tienne la main.
J’ai toujours bénéficié d’une excellente santé. Encore aujourd’hui, à 80 ans l’année prochaine, je monte toujours et je descends tous les escaliers qui se trouvent sur mon chemin, au pas de gymnastique. Notamment en ce moment sur le ferry.
Si demain, je devais être cloué dans un lit ou un fauteuil, comptez sur moi pour trouver un moyen de devancer la maladie incurable et la mort. Par tous les moyens possibles et imaginables. C’est exactement pour cette raison que je n'arrêterai jamais de bouger à moins d’y être forcé. Et, je ne resterai pas forcé très longtemps.