Sarkozy.mp3
Où il est démontré, s'il en était encore besoin, que ce qui est édicté par nos politiques est applicable au commun des citoyens, mais en aucun cas à ceux qui dirigent notre pays.
On ne s'étonnera pas dans ces conditions du mépris absolu de ces mêmes citoyens à l'égard de leurs dirigeants.
Comme le résumait Coluche : un pour tous, tous pourris !
Trente-cinq ans plus tard, rien n'a changé, bien au contraire.
Le président d'aujourd'hui est encore pire que Sarkozy.
Il n'est d'ailleurs pas exclu qu'un jour, qui sera certainement lointain, il sera, lui aussi condamné pour sa gestion, catastrophique pour notre pays, en termes économiques, mais surtout humains, de la crise sanitaire unique dans l’histoire moderne, qui nous a frappé l
Je rappelle que Chirac, lui aussi avait été condamné à de la prison ferme par la justice de notre pays. Il n'a pas purgé sa peine pour des raisons de santé.
Cela nous fait tout de même deux présidents de la république condamnés à de la prison ferme sur quatre mandats successifs. Avec Macron, peut être trois !
Pauvre France ! Elle ressemble de plus en plus à une république bananière.
On ne s'étonnera pas dans ces conditions du mépris absolu de ces mêmes citoyens à l'égard de leurs dirigeants.
Comme le résumait Coluche : un pour tous, tous pourris !
Trente-cinq ans plus tard, rien n'a changé, bien au contraire.
Le président d'aujourd'hui est encore pire que Sarkozy.
Il n'est d'ailleurs pas exclu qu'un jour, qui sera certainement lointain, il sera, lui aussi condamné pour sa gestion, catastrophique pour notre pays, en termes économiques, mais surtout humains, de la crise sanitaire unique dans l’histoire moderne, qui nous a frappé l
Je rappelle que Chirac, lui aussi avait été condamné à de la prison ferme par la justice de notre pays. Il n'a pas purgé sa peine pour des raisons de santé.
Cela nous fait tout de même deux présidents de la république condamnés à de la prison ferme sur quatre mandats successifs. Avec Macron, peut être trois !
Pauvre France ! Elle ressemble de plus en plus à une république bananière.
Allocution : la communication perverse d’Emmanuel Macron par Clément Viktorovitch