Dans ces conditions, je n'ai jamais vu une conférence de presse présidentielle aussi passionnante. Et j'ai 72 ans !
Bravo à Schneidermann (dont j'utilise souvent les éditos sur ce site parce qu'ils me semblent pertinents et surtout ne ressemblent pas à ceux de ses collègues en général) pour cette initiative qui j'espère sera renouvelée.
Quant à la prestation de Macron inutile de vous dire que personnellement je ne l'ai pas regardé. Ce type me provoque littéralement des boutons, alors le subir pendant deux heures et demie... Rien que le discours liminaire, qui a duré quasiment une heure, m'aurait dégoûté dès les premières minutes.
Quant à la soi-disant conférence de presse, excusez-moi mais ce n'était une conférence de presse mais encore une fois le numéro classique et solitaire d'embrouille intellectuelle que l'on apprend à l'ENA. Rien à voir avec une conférence de presse à l'américaine, par exemple.
Au final, on peut conclure que la presse française, en tous cas celle qui est dans la salle, a le président qu'elle mérite. On notera que dans les trois journalistes commentateurs, un seul a la carte de presse. Ce n'est certes pas le moins incisif mais c'est une exception dans la presse française.
Installez-vous confortablement et régalez vous !
Le lien
Bravo à Schneidermann (dont j'utilise souvent les éditos sur ce site parce qu'ils me semblent pertinents et surtout ne ressemblent pas à ceux de ses collègues en général) pour cette initiative qui j'espère sera renouvelée.
Quant à la prestation de Macron inutile de vous dire que personnellement je ne l'ai pas regardé. Ce type me provoque littéralement des boutons, alors le subir pendant deux heures et demie... Rien que le discours liminaire, qui a duré quasiment une heure, m'aurait dégoûté dès les premières minutes.
Quant à la soi-disant conférence de presse, excusez-moi mais ce n'était une conférence de presse mais encore une fois le numéro classique et solitaire d'embrouille intellectuelle que l'on apprend à l'ENA. Rien à voir avec une conférence de presse à l'américaine, par exemple.
Au final, on peut conclure que la presse française, en tous cas celle qui est dans la salle, a le président qu'elle mérite. On notera que dans les trois journalistes commentateurs, un seul a la carte de presse. Ce n'est certes pas le moins incisif mais c'est une exception dans la presse française.
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L'Europe, un projet qui a mûri… aux États-Unis !