
Une nouvelle étude publiée dans le Journal of Independent Medicine fait trembler les fondations des narratifs officiels sur l’efficacité des vaccins contre la COVID-19.
Intitulée « Métacritique des études influentes prétendant démontrer le succès des vaccins contre la COVID-19 : Partie 1 - Watson et al. » , cette analyse rigoureuse, menée par Raphaël Lataster, chercheur à l’Université de Sydney, démonte les conclusions d’une étude phare de Watson et al., qui affirmait que les vaccins avaient sauvé plus de 14 millions de vies dans 185 pays.
Ce travail s’inscrit dans un contexte de méfiance croissante envers les institutions scientifiques, amplifié par des scandales comme l’étude frauduleuse Pradelle-Lega, l’enquête du ministère de la Justice américain (DOJ) sur les revues scientifiques, et les critiques de figures comme Jay Bhattacharya, nouveau directeur du NIH.
En parallèle, les révélations sur l’étude britannique Recovery rappellent comment des méthodologies douteuses ont servi à discréditer des traitements alternatifs comme l’hydroxychloroquine.
Voici une analyse approfondie de cette métacritique, de ses implications, et de son rôle dans la remise en question des décisions des autorités sanitaires.
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Vous trouverez en fichier joint au présent article un résumé de la metacritique par NotebookLM
Vous y trouverez également un podcast audio en français, toujours de NotebookLM, à propos de cette metacritique.

