Et, maintenant, c'est au niveau des pays que l'on constate une augmentation alarmante de la mortalité !

À partir d'une part d'un article récent de FranceSoir et d'autre part d'une vidéo YouTube du Dr John Campbell, j'ai demandé une synthèse et comme d'habitude un podcast, sur ce sujet à NotebookLM.

Le lien vers l'article de FranceSoir

Vous trouverez la vidéo ci-après.

Et, joints au présent article : les résumés très complets de Recall.AI de l'article de France soir et de la vidéo du Dr Campbell (sous-titrée en français), avec les
paramètres de Youtube.

La synthèse de NotebookLM
 

Mortalité excessive et vaccins à ARN : Une corrélation troublante

 

Document de Synthèse : Excès de Mortalité dans les Pays Occidentaux et Excès de mortalité au Japon. Par NotebookLM
 

Ce document de synthèse examine les thèmes et faits importants concernant l'excès de mortalité dans les pays occidentaux, en s'appuyant sur les analyses du Dr. John Campbell et une étude japonaise relatée par France-Soir. 
 

Les sources soulignent une persistance des décès excessifs et explorent la corrélation possible avec les campagnes de vaccination à ARN, tout en appelant à une plus grande transparence des données.

1. Persistance des Décès Excessifs dans les Pays Occidentaux

Les deux sources mettent en évidence une tendance alarmante : la persistance de l'excès de mortalité dans de nombreux pays occidentaux, contrairement à certains pays orientaux ou à faibles taux de vaccination à ARN.

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Dr. John Campbell note que :

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• « Les pays occidentaux connaissent toujours des décès excessifs, contrairement aux pays orientaux, et cette différence est difficile à expliquer. »

• Les États-Unis ont des décès excessifs supérieurs à 10 % depuis longtemps (par rapport à 2015-2019).

• Le Royaume-Uni affiche généralement un excès d'environ 10 %.

• Le Canada a enregistré de 10 à 20 % de décès excessifs en 2021, 2022 et 2023.

• L'Australie, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas, l'Irlande, le Danemark, l'Allemagne et Israël montrent des taux similaires, supérieurs à 10 %.

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Une étude sur 47 pays occidentaux entre janvier 2020 et janvier 2022 a révélé plus de 3 millions de décès excessifs. Cette surmortalité est restée élevée pendant « cinq années consécutives, ce qui soulève des inquiétudes sérieuses. »
 

• Le rapport de France-Soir confirme cette tendance, notant que « L’augmentation des décès en excès n’est pas propre au Japon. 

• En Italie, une analyse de Med Lav (2023) a révélé une mortalité accrue, notamment chez les travailleurs, avec un pic en 2020 et une persistance en 2022-2023. 

• Les pays nordiques (Danemark, Finlande, Norvège, Suède) ont aussi enregistré des excès… » 

 

En France, l'Insee a documenté une hausse de 8,4 % des décès toutes causes confondues en janvier 2025 par rapport à janvier 2024.

2. Le Rôle Potentiel des Vaccins à ARN

Une corrélation est suggérée entre les niveaux élevés de vaccination ARN et l'excès de mortalité, en particulier au Japon.
 

Le Japon comme Cas d'Étude Principal (France-Soir) :

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Une étude publiée dans le JMA Journal par Hideki Kakeya et al. met en lumière une « augmentation notable des décès en excès au Japon, pays ayant administré 3,6 doses de vaccins ARN contre la COVID-19 par habitant en mars 2024, le taux le plus élevé au monde pour ce type de vaccin. »

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Malgré une couverture vaccinale de plus de 80 %, les décès en excès ont atteint plus de
1 400 par million en 2023, « un chiffre trois fois supérieur à celui des États-Unis, dont seulement 10 % étaient directement attribuables à la COVID-19. »

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Les chercheurs explorent plusieurs hypothèses : 

* Effets indésirables des vaccins à  : des cas de myocardite, péricardite, troubles de la coagulation et maladies auto-immunes ont été rapportés. 
 

L'étude note « une augmentation des décès par cancers liés aux récepteurs d’œstrogènes, comme la leucémie, le cancer du sein, du pancréas, de la cavité buccale, des ovaires et de l’utérus, depuis le déploiement massif des vaccins. » 
 

* Immunosuppression après des vaccinations répétées : des études montrent une hausse des anticorps IgG4 (de type immunosuppressif) et des cellules T régulatrices après les doses de rappel, ce qui pourrait expliquer la persistance du virus.

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Réactions sur les réseaux sociaux : Kevin McKernan, expert en génomique, a souligné que le Japon a « plus de décès par ARN que tous les vaccins précédents sur 47 ans », avec 903 décès reconnus liés aux vaccins au 18 novembre 2024.

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Dr. John Campbell soutient cette observation :

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« Les pays très vaccinés comme la Corée du Sud et le Japon présentent des taux de décès excessifs souvent supérieurs à 20 %. »

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Singapour et Taïwan, également très vaccinés, présentent des niveaux élevés de décès excessifs.

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Inversement, des pays comme la Russie, la Roumanie, l'Arménie et la Géorgie, qui n'ont pas eu de déploiement de vaccins ARN, ont connu une réduction des décès, contrairement aux pays occidentaux. 

3. Difficulté d'Accès et Manque de Transparence des Données

Les deux sources critiquent un manque de transparence et de disponibilité des données, ce qui entrave une analyse complète et la détermination de la causalité.

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Dr. John Campbell mentionne :

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« Il est difficile d'obtenir des données sur les causes de décès et l'âge des décès dans certains pays, comme le Royaume-Uni, où les données sont désormais indisponibles. »

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Il critique les gouvernements (USA, RU) pour leur « manque de réaction face à ces problèmes de santé publique. Il est donc pour le moins scandaleux que la vie humaine ne semble pas être une priorité pour certains systèmes. 

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France-Soir souligne :

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« Les auteurs soulignent un manque de transparence des données japonaises, exacerbé par des erreurs passées, comme la classification initiale de personnes vaccinées sans date d’inoculation comme non vaccinées. »

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En France, la demande de clarté de données de mortalité toutes causes confondues, ventilées par statut vaccinal et classe d’âge, par Laurent Toubiana et BonSens.org, est « sans réponse » depuis plus de trois ans.

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« Ce silence des autorités alimente les interrogations et complique l’analyse des liens entre vaccination, mortalité et autres facteurs… Une transparence accrue est essentielle pour éclairer les décisions de santé publique. »

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La confiance dans les vaccins contre la COVID-19 s’effrite en France, « nourrie par des perceptions de manque de franchise des autorités. »

4. Distinction entre Corrélation et Causalité

Les sources insistent sur la nécessité de distinguer corrélation et causalité, tout en appelant à ne pas ignorer les corrélations.

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Dr. John Campbell clarifie :

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« Il est important de noter que la corrélation entre les facteurs ne signifie pas nécessairement une causalité, mais cela ne signifie pas non plus que les corrélations doivent être ignorées, comme le montrent les exemples de la consommation de tabac et du cancer du poumon, ou de l'exposition à l'amiante et du mésothéliome. »
N.D.L.R : où la causalité a été très longue à établir, mais elle l'a finalement été.

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Il rappelle les critères de Bradford Hill pour évaluer la causalité, y compris la cohérence entre les données de laboratoire et épidémiologiques, ainsi que la réversibilité des effets. Pour déterminer la causalité, il faut examiner les associations à grande échelle, vérifier si les effets suivent les causes (exposition plus importante = plus de dommages), et si les mécanismes biologiques plausibles sont cohérents.

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France-Soir cite une étude de l’International Journal of Risk & Safety in Medicine (2025) qui examine une « 'augmentation paradoxale' des décès liés à la COVID-19 malgré la vaccination. »

Conclusion

Les sources dressent un tableau préoccupant de la persistance des décès excessifs dans les pays occidentaux. Bien que la causalité ne soit pas formellement établie, une forte corrélation est observée avec les pays ayant eu un déploiement massif de vaccins à, comme le Japon. Un appel pressant à la transparence des données de santé publique et à une enquête rigoureuse est lancé pour comprendre les causes profondes de cette surmortalité continue et restaurer la confiance du public. L'inaction des autorités est fortement critiquée face à un problème de santé publique d'une telle ampleur.
 

N.D.L.R
Les autorités ne font pas preuve de manque de transparence : elles font tout ce qui est dans leur pouvoir (et, il est grand) pour que cette corrélation ne puisse se transformer en causalité.

Pourquoi ? 
Parce que selon les clauses des contrats que l'UE a signés avec les fabricants de vaccins, en échange du raccourcissement important des délais de fabrication qu’elle a exigé des fabricants (quelques mois au lieu de quelques années normalement) ces derniers leur ont demandé de prendre contractuellement la responsabilité des problèmes que pourraient causer les vaccins. 

Ces clauses pour le moins léonines ont été acceptées (mais soigneusement caviardées dans les contrats), par l’Union européenne et particulièrement Mme Von der  Leyen, et scrupuleusement observées au niveau des États Européens.
 

Il est évident que, alors même que nombre des morts et les malades des inoculations augmente dramatiquement, ces mêmes autorités n’ont aucune envie de faire face à leurs engagements. Après cela, on ne s’étonnera pas que les inoculés en puissance, si j’ose dire, n'aient aucune envie de se faire vacciner. 
 

Pire encore : la plupart de ceux qui l'ont été, et à de multiples reprises, refusaient et refuseront systématiquement de prêter l’oreille à tout ce qui ressort de la face sombre des vaccins ARN.