Londres, vue depuis Greenwich
Depuis le mois de novembre mon fils cadet, Vincent (né à St-Martin) et âgé de trente ans, est manager général du nouveau Comptoir Rebuchon du centre-ville de Londres, quartier de Mayfair, qu'il a ouvert en novembre dernier.
Une excellente occasion pour moi de me rendre encore une fois à Londres, car ce n'est pas le premier restaurant où a travaillé mon fils à Londres, mais le troisième.
J'ai donc passé les fêtes de Noël en famille avec Vincent et son fils Léo, ma belle fille, qui est également manager d'un hôtel restaurant à Londres, et son fils Matthew, d'un premier mariage.
J'ai évidemment réveillonné comme un roi, sans avoir besoin d'aller au restaurant. Vincent, qui fait aussi très bien la cuisine, nous a fait son traditionnel bœuf Wellington, accompagné d'un superbe gratin dauphinois. Le lendemain nous avons mangé dans le plus ancien restaurant de Greenwich (plus de 200 ans) , le Cutty Sark, où j'ai pu goûter un véritable "fish and ships" à l'anglaise, accompagné de deux superbes bouteilles de vin blanc. Mon fils et ma bru ne sucent pas de la glace, et quand je me lâche, je ne suis pas ridicule ! Tout en conservant bien entendu la totalité de mes facultés. J'ai été 15 ans en poste à St Barth et St Martin, aux Antilles et je peux tenir la bouteille dans problèmes.
Le lendemain nous avons visité longuement et sous le soleil (!) l'immense parc de Greenwich, d'où l'on peut depuis le haut d'une colline avoir une vue magnifique sur la Tamise et le centre de Londres. Le tout au milieu d'arbres, de bâtiments et de pelouses, historiques et majestueux. Mon fils loue un appartement (très cher : 2000 livres par mois, mais c'est Londres et il a le métro au sortir de chez lui) à 10 minutes à pied du Greenwich Parc. Avec deux très bons salaires, ça va. Mais il faut ça !
En tous cas, c'est la deuxième fois que j'ai la chance de pouvoir admirer Londres sous le soleil et dans ces conditions c'est une très belle ville, surtout quand on demeure à proximité d'un immense parc à l'anglaise. Par ailleurs, du point de vue lutte contre la pollution, Londres fait des progrès tous les jours. Beaucoup plus vite que Paris. Les voitures électriques seront obligatoires d'ici peu d'années et la circulation est déjà sévèrement réglementée.
A l'aller, mon fils est venu me chercher en voiture à Gatwick. Au retour en revanche, il travaillait déjà et j'ai dû partir par l’aéroport de SouthEnd, qui se trouve au diable, soit à 70 km de Londres, 95€ en taxi.
En revanche j'avais trouvé un billet direct Malaga/Londres aller et retour à moins de 200 euros avec le voyagiste espagnol Rumbo ! Pour Londres, et pendant les fêtes de Noël, c'est pas cher du tout.
Une excellente occasion pour moi de me rendre encore une fois à Londres, car ce n'est pas le premier restaurant où a travaillé mon fils à Londres, mais le troisième.
J'ai donc passé les fêtes de Noël en famille avec Vincent et son fils Léo, ma belle fille, qui est également manager d'un hôtel restaurant à Londres, et son fils Matthew, d'un premier mariage.
J'ai évidemment réveillonné comme un roi, sans avoir besoin d'aller au restaurant. Vincent, qui fait aussi très bien la cuisine, nous a fait son traditionnel bœuf Wellington, accompagné d'un superbe gratin dauphinois. Le lendemain nous avons mangé dans le plus ancien restaurant de Greenwich (plus de 200 ans) , le Cutty Sark, où j'ai pu goûter un véritable "fish and ships" à l'anglaise, accompagné de deux superbes bouteilles de vin blanc. Mon fils et ma bru ne sucent pas de la glace, et quand je me lâche, je ne suis pas ridicule ! Tout en conservant bien entendu la totalité de mes facultés. J'ai été 15 ans en poste à St Barth et St Martin, aux Antilles et je peux tenir la bouteille dans problèmes.
Le lendemain nous avons visité longuement et sous le soleil (!) l'immense parc de Greenwich, d'où l'on peut depuis le haut d'une colline avoir une vue magnifique sur la Tamise et le centre de Londres. Le tout au milieu d'arbres, de bâtiments et de pelouses, historiques et majestueux. Mon fils loue un appartement (très cher : 2000 livres par mois, mais c'est Londres et il a le métro au sortir de chez lui) à 10 minutes à pied du Greenwich Parc. Avec deux très bons salaires, ça va. Mais il faut ça !
En tous cas, c'est la deuxième fois que j'ai la chance de pouvoir admirer Londres sous le soleil et dans ces conditions c'est une très belle ville, surtout quand on demeure à proximité d'un immense parc à l'anglaise. Par ailleurs, du point de vue lutte contre la pollution, Londres fait des progrès tous les jours. Beaucoup plus vite que Paris. Les voitures électriques seront obligatoires d'ici peu d'années et la circulation est déjà sévèrement réglementée.
A l'aller, mon fils est venu me chercher en voiture à Gatwick. Au retour en revanche, il travaillait déjà et j'ai dû partir par l’aéroport de SouthEnd, qui se trouve au diable, soit à 70 km de Londres, 95€ en taxi.
En revanche j'avais trouvé un billet direct Malaga/Londres aller et retour à moins de 200 euros avec le voyagiste espagnol Rumbo ! Pour Londres, et pendant les fêtes de Noël, c'est pas cher du tout.
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Je rappelle que depuis la dernière version de Google Photos, quand vous cliquez sur l'icône i (en haut à droite de la photo) vous avez tous les renseignements sur le photo, y compris l'emplacement dans Google Maps et les coordonnées GPS. Sauf dans le parc, par exemple où apparemment Google Maps est perdu.
Peut-on envisager l’expatriation lorsque l’on ne parle QUE français ?