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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



Facebook : Un réseau social au dessous de tout soupçon

Facebook perd de l'argent tous les mois et pourtant son créateur est milliardaire. Facebook a des rapports étroits avec la C.I.A et la police. Facebook respecte de moins en moins la confidentialité des données privées de ses millions de membres. Facebook c'est un peu, beaucoup ? l'intrusion de la téléréalité sur Internet. Avec un avantage sur la téléréalité ; chacun peut être voyeur mais aussi, et en même temps exhibitionniste. C'est peu de dire que Facebook pose beaucoup de questions.

Voici un petit aperçu de ce qui s'écrit sur Facebook en ce moment. En dehors de Facebook évidemment. En effet, sur Facebook on parle de tout et de rien mais, comme c'est bizarre, très peu de Facebook lui même. Au demeurant, ceux qui, à l'intérieur du réseau, posent trop de questions dérangeantes sont purement et simplement bannis de Facebook.



Un logo pour votre site : 100% non Facebook !
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FaceBook perdrait 10 millions de dollars par mois


Facebook risque de devenir bientôt l’exemple à ne pas suivre. La mauvais exemple au niveau business car l’entreprise perdait toujours à première vue plusieurs millions de dollars par mois sans avoir jamais été profitable (1). Un contre-exemple technique aussi car alors que la raison lui imposerait de consolider avant de continuer sa croissance vu l’énormité des problèmes techniques - et de sécurité - qui doivent logiquement se poser, Facebook choisit d’accélérer avec une course au nombre d’utilisateurs (400 millions) qui s’annonce sans fin.


FaceBook c’est aussi une atteinte de plus en plus forte aux principes élémentaires du respect de la vie privée à plusieurs niveaux.

Au niveau légal, FaceBook vient encore de changer ses conditions générales comme le rapporte Numerama (2) en violant cette fois-ci délibérément des séries de lois nationales un peu partout dans le monde. FaceBook de plus s’efforce de rentrer dans des groupes de pression afin de faire évoluer les lois dans son sens. 

Au niveau technique Facebook est un gruyère. Certainement programmé "avec les pieds", le site mobile est par exemple facilement "robotisable" permettant ainsi à n’importe quel développeur d’accéder facilement à tous les profils qui accepteraient une proposition de la part du robot développé : photos, coordonnées personnelles, téléphones , etc..
 
Ces problèmes de sécurité ne sont pas nouveau. Déjà en 2007 le code de la home page de FaceBook avait été rendu public.

Nous pouvons voir des images de ce robot sur le site "Media-Business" avec des logs de connexion du robot qui auraient permis de construire automatiquement des profils à 5’000 amis (nombre maximal d’ami maintenant autorisé) :

Cela veut dire par extension que la base entière de Facebook est, sans aucun piratage mais seulement en utilisant le site mobile, accessible à tout le monde du moment où vous acceptez les demandes d’ami - ce qui est la base du réseau -

Cette absence de respect pour ses membres montre une entreprise qui n’a pas compris les bases de son métier qui est de construire la confiance autour de la technologie.

En se croyant "surpuissante" la firme s’expose à des retours de flamme très violents autant au niveau technique (piratage massif ?) que légal (procès à venir) tout en ayant un business model qui ne trouve toujours pas sa logique.
 
Une estimation donne en effet des pertes de l’ordre de 10 millions de dollars par mois pour FaceBook avec en plus une estimation haute des revenus publicitaires et relativement basse des dépenses RH.

FaceBook est un destructeur de richesse complètement nuisible à l’économie numérique, symbole d’un jeunisme triomphant irresponsable, inconscient et irrespectueux.
 

Réactions


  •  

    Par non666 (xxx.xxx.xxx.63) 30 mars 12:29


    Les sites comme Facebook, qui établissent des connections entre individus ne sont pas ce qu’ils prétendent être.


    Le légende présente de simple "facilitées" pour se joindre entre amis.

    La réalité est tout autre.

    Le but d’un service de renseignement , qu’il soit national (RG) ou international (Mossad , CIA , DGSE) est de savoir relier les gens entre eux, pour établir les "nodes" c’est à dire les noeuds de connections entre individus.

    Personne ne donnerait son carnet d’adresse spontanément à des agents des RG.

    Mais , curieusement, tout le monde le fait si l’écran sert d’interface.

    Car dans le mythe d’un internet libre et complètement gratuit se pose quand même une question : qui paie ?

    Car cela coute cher un serveur, une base de donnée , la maintenance nécessaire.

    Or personne ne semble payer ces services.

    Parallèlement, on a appris dans les années 90 que les Etats unis, Israël et quelques autres investissaient massivement dans le "renseignement électronique"...

    Ce Renseignement électronique , ce n’est pas seulement "Echelon", les grandes oreilles, la partie exposée et rendue publique. C’est aussi tous ces sites de rencontre , de liaison, de messagerie instantanée, de regroupement "d’amis" , de "copains d’avant"....

    En contrôlant ces sites, sous une étiquette ou une autre, quelque soient les prêtes noms , on contrôle les groupes, on connait les historiques individuels, les points de chute possible des uns et des autres.

    Mais là nous parlons de surveillance de la foule.

    Il existe d’autres moyens qui ressemblent davantage a de l’espionnage : les techniques de pénétration des reseaux GSM permettant d’être en écoute de qui on veut, quand on veut, la présence des serveurs de Black berry en Amerique du nord (qui a valu aux membres du gouvernement français une sévère mise en garde de notre contre-espionnage).

    Regarder Facebook sous l’oeil de la rentabilité c’est comme se poser la question de la rentabilité de l’armée (en temps de paix) : hors sujet.

    ICQ , ODIGO, Yahoo-groupes, MSN , Facebook sont vos amis, si, si.....



Par non666 (xxx.xxx.xxx.2) 18 décembre 2007 13:54

Le fait est que le renseignement electronique n’est pas constitué que des "grandes oreilles" des systemes d’ecoute des ondes.

Les pays anglo-saxons, Israel ont masivement investit dans ces technologies.

Comme je le repete a chaque fois qu’un sujet similaire apparait, quel est le but des services de renseignements ?

===> Savoir qui communique avec qui et sur quel sujet.

Avec internet, La phase 1 a été de controler tous les flux. Les etats unis controlent donc TOUS les serveurs racines qui sont chez eux ou dans des pays completement vassalisés.

La phase 2 a été de produire les serveurs de recherche (yahoo, google) qui indexent (et copient donc toutes les pages). Ils controlent donc ce que peut essayer de voir et surtout, ce qu’on ne doit plus trouver.

La phase 3 a donc consisté a entretenir le mythe des gentils investisseurs qui offraient des services "gratuits" aux internautes, de rencontre, de "communauté", de "chat".(yahoo-groups, msn)

Chacun adherant selon ses affinités , on intercepte qui communique avec qui.

La dernière phase consiste a vendre des services "privés" aux entreprises, aux decideurs,pour penetrer les echanges supposés internes et "sécurisés" des entreprises.

Ce n’est pas un hasard si les services français ont demandé aux ministeres d’etre extremement "prudent" avec l’utilisation des "blackberry".

Les etats unis ne sont pas plus intelligent que les autres et en avance technique sur tous les sujets...ils sont au courant des recherches chez tous les autres par interception, c’est tout.

Mais bon, il n’y a pas que les etats unis.

Confieriez vous votre carnet d’addresse aux RG ?

NON ?

Mais vous donnez votre numéro ICQ a vos amis ce qui informe le MOSSAD sur vos relations.

Source Agoravox.fr

Facebook serait-il au service de la CIA ?


Facebook est sans aucun doute le succès internet de cette année 2007. Les médias et le monde des affaires ont les yeux rivés sur cette société désormais valorisée à 15 milliards de dollars. Mais à y regarder de plus près, il semble que Facebook ne soit pas totalement étranger aux instances américaines...


Bref historique

C’est en février 2004 que le projet Facebook voit le jour dans les locaux d’Harvard à l’initiative de Mark Zuckerberg, de Dustin Moskovitz et de Chris Hugues. Facebook se propage alors rapidement d’Harvard à Stanford, Yale et Columbia.

Facebook touche ensuite les autres collèges et universités ainsi que les réseaux professionnels en mai 2006. En septembre 2006, Facebook est accessible à tous les internautes.

Aujourd’hui Facebook compte plus de 50 millions d’utilisateurs à travers le monde dont plus d’un million en France.

Des investisseurs non neutres...

Comme toute start-up ambitieuse, Facebook avait d’importants besoins de financements pour mener à bien son projet. Dès l’été 2004, Peter Thiel, l’ex-CEO de Paypal investit 500 000 dollars dans la société.

Peter Thiel semble avoir des liens importants avec le think tank néoconservateur Vanguard PAC. Peter Thiel a travaillé aux côtés de Rod Martin, président de ce think tank et proche de l’administration Bush. Rod Martin préside, entre autres, le puissant lobby des armes : la National Rifle Association.

Puis en mai 2005, Facebook lève 12,7 millions de dollars auprès du fonds d’investissement Accel Partners. Son président, James Breyer, accède alors au conseil d’administration de Facebook. James Breyer a siégé, entre autres, chez NVCA et BBN (à l’origine de l’ARPANET). Dans ces sociétés, on retrouve Gilman Louie et Anita Jones qui ont tous deux siégé au conseil d’In-Q-tel, fonds d’investissement de la CIA fondé en 1999.

De plus, le docteur Anita Jones a travaillé pour le compte du département américain de la Défense. Et puisqu’un schéma vaut mieux qu’un long discours, voici une cartographie simplifiée des liens indirects pouvant réunir Facebook et les institutions de défense américaines.


Source Agoravox.fr

Facebook coopératif avec la police, Twitter plus circonspect



Une étude interne du ministère américain de la Justice sur l'exploitation des réseaux sociaux révèle que Facebook est jugé plus coopératif par la police que Twitter, qui a pour politique d'exiger systématiquement un mandat.

(AFP) - L'étude dont il est question, communiquée à sa demande à l'organisation Electronic Frontier Foundation, qui l'a mise en ligne, vise à expliquer aux policiers et procureurs l'utilisation qui peut être faite des réseaux sociaux dans leurs enquêtes: ils peuvent les sonder pour "établir des motivations et des relations personnelles", "confirmer ou démentir des alibis", entre autres.

Passant en revue les quatre principaux sites utilisés aux Etats-Unis (Facebook, MySpace, Twitter, LinkedIn), elle relève que Facebook "est souvent coopératif avec les demandes d'urgence".

En revanche, les enquêteurs intéressés par les informations de Twitter se heurtent à plusieurs obstacles: le site ne fournit pas les numéros de téléphone de ses utilisateurs, "ne préservera pas de données sans procédure juridique", et a "pour politique explicite de ne communiquer des données qu'en réaction à une procédure juridique", indique le document.

Interrogé mercredi par l'AFP, Andrew Noyes, un porte-parole de Facebook, a indiqué que sa société coopérait avec les forces de l'ordre "dans les limites de la loi et quand cela se justifie pour la sécurité des utilisateurs de Facebook".

Le réseau social respecte un "équilibre entre les besoins d'information des forces de l'ordre et le droit à la vie privée de nos utilisateurs", a-t-il assuré.
"Dans de rares cas, notre politique et la loi permettent des communications en urgence", a ajouté ce porte-parole, évoquant le cas "hypothétique" d'un enlèvement d'enfant.

Le document évoque par ailleurs les opérations clandestines que peuvent mener les enquêteurs, pour "communiquer avec des suspects", "obtenir un accès à des informations non publiques" ou "établir des réseaux de connaissance", tout en s'interrogeant sur la légalité de ces pratiques.

En revanche, les services du fisc américain semblent avoir une exploitation plus limitée des réseaux sociaux: la Electronic Frontier Foundation s'est félicitée que le fisc "interdise clairement aux employés d'utiliser des faux comptes pour obtenir des informations".

Dans un manuel d'une trentaine de pages destiné aux agents du fisc, également mis en ligne par l'association EFF, l'administration leur indique que "généralement (ils) ont le droit d'examiner les informations disponibles sur les sites publics et d'accès non limité", et rappelle que "en matière civile les employés ne peuvent pas déguiser leur identité, même sur internet".

Le co-président de l'association "Future of Privacy", Chris Wolf, a souligné que ces informations ne révélaient en soi aucune action répréhensible, mais constituaient un nouveau rappel à l'ordre pour les internautes, afin qu'ils fassent attention aux informations qu'ils mettent en ligne.

"Peu importe ce que font les forces de l'ordre, les internautes et les utilisateurs des réseaux sociaux doivent faire attention", a-t-il dit à l'AFP.
Selon M. Wolf, les documents révélés par l'EFF "soulèvent un certain nombre de questions, mais n'indiquent en rien que les autorités ou les réseaux sociaux aient franchi les limites" de la légalité.

Source :17/03/2010 Copyright © L'Echo.be


N.D.L.R

Je suis sur Facebook, mais c'est surtout pour faire connaitre, à un plus large public, les articles de mon site. En fait les états d'âme ou les exhibitions de certains ne m'intéressent pas beaucoup. Je ne suis pas voyeur et encore moins exhibitionniste. Même sur mon site, où j'ai tous les droits, je n'ai pas pour habitude de me répandre. De fait, les articles de mon site qui paraissent automatiquement sur Facebook attirent très peu de réactions. Ce qui n'est pas le cas en dehors de Facebook. La seule rubrique de mon site qui plait beaucoup sur Facebook c'est la rubrique humour, pour laquelle j'ai pas loin de 150 fans. 

Pour ce qui est de la confidentialité, étant retraité de la fonction publique et célibataire, je n'ai plus rien à cacher. En revanche si j'étais jeune je m'inquiéterais...

En fait, pour ce qui me concerne, j'ai en quelque sorte créé mon propre réseau social, constitué à ce jour de 2500 lecteurs réguliers et très attentifs à ce que je je diffuse, qui ne se contentent pas de passer en coup de vent, comme c'est le cas avec beaucoup de sites sur Internet, mais au contraire lisent plusieurs pages à chaque visite.  

Depuis de nombreuses années maintenant de nombreux lecteurs m'écrivent tous les jours pour me donner leur opinion ou pour me soumettre des éléments (photos, articles, vidéos) à diffuser sur mon site.  D'autres sont même venus me visiter en Thaïlande et sont devenus des amis, non virtuels. 

Qu'ils soient tous remerciés ici. Grâce à eux j'ai finalement très peu de raisons d'aller sur Facebook. 



Lundi 5 Avril 2010

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