Tout est dit, merci Philippe Geluck
Les chatbots alimentés par LLMs, Large Language Models, comme ChatGPT et Bing sont des machines qui prédisent en permanence quel mot est statistiquement le plus susceptible de suivre le précédent.
Et, ce n'est pas de la magie noire, mais un processus de calcul.
Ne vous laissez pas impressionner par ces machines qui viennent d'envahir l'espace public. Elles peuvent certainement rendre de grands services, mais elles ne penseront jamais pour vous.
Ce qui ne veut pas dire qu'elles ne parviendront pas un jour, si nous ne sommes pas vigilants, à agir à notre place.
N.B
Je ne serai certainement pas le dernier à utiliser les intelligences artificielles, dans tous les domaines dans lesquels elles pourront me rendre des services. Je le fais déjà.
En quelques mots, ces intelligences artificielles pourront m'aider, comme bloqueur, dans la recherche et l'exploitation des données dans n'importe quel domaine sur lesquels j'écrirai un article. A condition toutefois que je ne passe pas plus de temps qu'auparavant à vérifier que ces données sont exactes.
Mais, je ne suis pas impressionné.
Une machine qui fonctionne uniquement en prédisant, grâce à une énorme base de données, quel mot est statistiquement le plus susceptible de suivre le précédent, ne peut pas impressionner une personne qui sait comment elle fonctionne.
Comme toujours avec les dernières innovations technologiques, ce ne sont que des outils qui, selon le façon dont ils seront utilisés, s'avèreront les meilleures ou les pires des choses.
Et, ce n'est pas de la magie noire, mais un processus de calcul.
Ne vous laissez pas impressionner par ces machines qui viennent d'envahir l'espace public. Elles peuvent certainement rendre de grands services, mais elles ne penseront jamais pour vous.
Ce qui ne veut pas dire qu'elles ne parviendront pas un jour, si nous ne sommes pas vigilants, à agir à notre place.
N.B
Je ne serai certainement pas le dernier à utiliser les intelligences artificielles, dans tous les domaines dans lesquels elles pourront me rendre des services. Je le fais déjà.
En quelques mots, ces intelligences artificielles pourront m'aider, comme bloqueur, dans la recherche et l'exploitation des données dans n'importe quel domaine sur lesquels j'écrirai un article. A condition toutefois que je ne passe pas plus de temps qu'auparavant à vérifier que ces données sont exactes.
Mais, je ne suis pas impressionné.
Une machine qui fonctionne uniquement en prédisant, grâce à une énorme base de données, quel mot est statistiquement le plus susceptible de suivre le précédent, ne peut pas impressionner une personne qui sait comment elle fonctionne.
Comme toujours avec les dernières innovations technologiques, ce ne sont que des outils qui, selon le façon dont ils seront utilisés, s'avèreront les meilleures ou les pires des choses.
«Ils profitent de notre pauvreté !»: derrière le boom des intelligences artificielles génératives, le travail caché des petites mains de l'IA