👁 Big Brother 👁 La France bascule dans la tyrannie !

Une vidéo de MoneyRadar qui nous montre comment, progressivement mais surement, la France met en place de nombreuses dispositions publiques qui ressemblent très fort à celles qui existent déjà en Chine.



La fameux « crédit social » n'est pas nouveau, il date de 1920 et a été développé par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas. Voir l'article Crédit social sur Wikipédia ici .

Si vous pensez que la ressemblance avec la situation sociale en Chine est exagérée, regardez cette vidéo.





Le résumé de ChatGPT

La Chine est considérée comme la plus massive émulation actuelle en matière de surveillance de masse, avec un gouvernement qui utilise des caméras de surveillance et une intelligence artificielle pour contrôler sa population. Les individus sont notés selon un score social, qui influence leur accès à certains services.

Les gouvernements européens, y compris la France, s'inspirent de ce modèle chinois de surveillance. Des outils de surveillance de plus en plus sophistiqués sont développés et testés, incluant :

la reconnaissance faciale, les scores sociaux,la collecte et le croisement des données personnelles à partir de différentes sources.
Malgré les principes des droits fondamentaux et du respect de la vie privée, les autorités justifient l'utilisation de ces technologies intrusives par la sécurité et la protection de la population.

En France, le déploiement de systèmes de surveillance a commencé en 2013 avec le ciblage de la fraude fiscale, et s'est renforcé depuis. Le fisc a accès à de nombreux fichiers d'État et utilise le data mining pour détecter les comportements frauduleux.

Les informations personnelles des contribuables sont également collectées à partir des réseaux sociaux et d'autres plateformes en ligne pour lutter contre la fraude fiscale.

La reconnaissance faciale et la vidéo surveillance sont utilisées en France. Cependant, il n'existe pas encore de législation spécifique]b pour encadrer leur utilisation. Certains projets de loi, notamment liés aux Jeux Olympiques de 2024, cherchent à combler cette lacune.

L'installation de systèmes de surveillance est justifiée par la garantie de la sécurité, mais soulève des préoccupations concernant les droits fondamentaux et le respect de la vie privée.

En résumé, le texte met en évidence l'adoption croissante de systèmes de surveillance inspirés de la Chine par les gouvernements européens, y compris la France, malgré les principes des droits fondamentaux et du respect de la vie privée.

Les technologies telles que la reconnaissance faciale et la collecte de données personnelles suscitent des inquiétudes quant à l'atteinte à la vie privée et aux droits individuels.

Le R.G.P.D

Le croisement des données personnelles a longtemps été interdit en France. Apparemment, il ne l'est plus qu'en théorie, pour l'État en tout cas.

Il est régi par le R.G.P.D (Règlement Général sur la Protection des Données) entré en vigueur dans toute l'Europe en 2018, soit il y a déjà cinq ans !

Ce qui est évident, en matière informatique, c'est que beaucoup d'entreprises le contournent allègrement.

La théorie :

Actuellement, la législation sur le croisement des données personnelles en France est régie par le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD)

. Le RGPD s'applique à toutes les organisations, publiques et privées, qui traitent des données personnelles pour leur propre compte ou non.

. Le RGPD oblige les entreprises qui utilisent des données personnelles à fournir aux utilisateurs certaines informations

. Le traitement des données doit avoir un but légal et légitime en relation avec l'activité professionnelle

. Le RGPD établit également de nouveaux droits pour les citoyens, tels que le droit à la portabilité des données

. En France, la protection des données personnelles est un sujet juridique qui a fait l'objet de débats depuis de nombreuses années.

. Le gouvernement français travaille à la réforme du cadre juridique pour la protection des données personnelles, car la législation actuelle date de 1995.

. De plus, l'État français et les administrations publiques réfléchissent à l'ouverture des données qu'ils détiennent, tout en assurant la protection des données personnelles, qui est au cœur de cette réflexion.

La pratique

Cette vidéo en est une excellente illustration.

L'État, s'il est peut- être plus vigilant pour les entreprises que par le passé, quoique sa vigilance soit, à l'évidence bien plus stricte pour les petits commerçants que pour les gros, se fiche complètement vis-à-vis de ses citoyens, des libertés publiques et même de l'État de droit.

Et, toujours pour le même motif officiel : notre sécurité, bien sûr.

A mon humble avis cette attitude ne va pas s'arranger à l'avenir. Notamment en raison du dérèglement climatique : la plupart des États se refusent actuellement à prendre les mesures immédiates qui s'imposent parce que la démocratie leur impose trop de barrières.

Ils ont donc résolu d'attendre que le situation soit bien catastrophique pour imposer alors, par la force s'il le faut, à nos descendants, en principe, les mesures drastiques qui auraient dû être prises bien avant.

J'ai écrit «à nos descendants en principe », mais la catastrophe se rapprochant tous les jours un peu plus vite, il est tout à fait possible qu'elle frappe une bonne partie de nos contemporains.

Les quatre degrés supplémentaires sont déjà prévus bien avant 2100. Ce qui veut dire pratiquement que tous ceux qui ont une maison, ou autre bien, près de la mer ou d'une rivière ont intérêt à prendre le plus vite possible les dispositions qui s'imposent.

A moins qu'ils ne pensent, comme je l'ai entendu, que tout cela « c'est des conneries» et que, si ce n'est pas le cas, alors, tels les commandants de navire qui se respectent, ils couleront avec leur maison.

« Blessed are the cracked for they let in the light»

Heureux sont les fêlés car ils laissent entrer la lumière.

Et oui, cette citation n'est pas d'Audiard. On ne prête qu'aux riches 😉


Vendredi 9 Juin 2023
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