Deux ans plus tard, on peut dire : mission accomplie au-delà de ses espérances.
On peut même souligner que c'est pratiquement le seul domaine où il a vraiment fait ce qu'il avait promis de faire.
Je remarque toutefois que lorsque les disruptions qu'il aime tant se produisent, il fuit systématiquement à l'étranger.
Autrement dit, il adore les ruptures, mais de loin.
On connaissait son besoin d'estime irrépressible et son manque total d'empathie.
On sait maintenant qu'il n'a pas le courage de ses convictions.
Putain ! 3 ans…
Emmanuel Macron : le pouvoir du rien !