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WEB SIDE STORIES- Site personnel de Guy DERIDET
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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



Tu l'as vu mon profil ? Qu'est ce qu'il a a mon profil ?

Libre adaptation de la chanson de Johnny... En fait, avec Internet on peut avoir des tas de profils. J'en ai choisi trois.



Mon profil Google Plus.

Tu l'as vu mon profil ? Qu'est ce qu'il a a mon profil ?
Ce qui est intéressant dans la photo d'écran ci-jointe c'est le nombre de consultations à ce jour : 1 044 668 !

Alors, ceux qui écrivent que Google Plus est une ville fantôme...

A ce propos j'ai lu récemment un article sur Internet qui prédit que G+ dépassera Facebook en 2016. Quand on voit la vitesse à laquelle il se développe et quand on connait les antécédents de Google, cela n'a rien d'inimaginable.

Je le constate à mon niveau. Je consulte ma page G+ et ma page Facebook  plusieurs fois par jour. Lorsque je reviens sur ma page Facebook après quelques heures j'ai vite fait de lire toutes les nouvelles news. Sur Google + en revanche, c'est beaucoup plus long ! Et donc, beaucoup plus fourni.

Personnellement je vais sur Facebook pour avoir des nouvelles de ma famille et de mes amis. Je vais sur Google Plus pour m'informer sur à peu près tous les sujets. Ce qui, pour un blogueur comme moi, est indispensable et fait le charme de cette occupation. 






Je suis parfois agacé par l'insignifiance de certains propos sur Facebook. Cela m'arrive très rarement sur Google +.

C'est normal : sur G+ je choisis mes amis, sur Facebook, les amis de mes amis sont obligatoirement mes amis. Le gros avantage de G+ c'est que l'on choisit ses cercles (ses amis sur Facebook) ou ses communautés (ses groupes sur Facebook) et que l'on peut s'y tenir. Je reviendrai prochainement ici sur les avantages et inconvénients respectifs de Facebook Vs G+. Il y a du grain à moudre !

Mon profil Facebook

Tu l'as vu mon profil ? Qu'est ce qu'il a a mon profil ?

Sur mon profil Facebook j'adore mon nouveau métier.

C'est vrai qu'aux Etats-Unis et malheureusement dans beaucoup d'autres pays maintenant, retraité, c'est souvent un, voire plusieurs métiers. 

Il est vrai que je suis un retraité très occupé : je me lève tous les jours à 6h et me couche rarement avant minuit. Entre les deux je ne m'ennuie jamais une seule seconde.

Mais la différence c'est que, désormais, je ne fais que ce qui me plait, je suis célibataire donc libre comme l'air, et j'habite où ça me chante.

Le bonheur est un art à pratiquer, comme le violon. » écrivait John Lubbock

En ce qui me concerne le bonheur, désormais, c'est une occupation à plein temps.



Mon profil Google Search

Quand vous tapez "guy deridet" dans Google vous obtenez : 31400 résultats.

Si on tape guy deridet dans les guillemets on obtient plus de résultats mais c'est tricher car la recherche donne tous les deridet (on n'est pas nombreux mais je ne suis pas tout seul. De plus deridet est un mot latin qui veut dire, si je ne m'abuse : qui se moque ! Ça ne s'invente pas !

Tout ceci pour dire que si on ne me trouve pas sur Internet, c'est vraiment que l'on ne cherche pas beaucoup.

Par ailleurs je ne suis pas mécontent de constater que mes nombreuses heures passées sur Internet depuis... 1995, ont laissé quelques traces. J'ai créé mon premier site Internet, lors de mon (bref) retour en France de 1992 à 1996. J’habitais alors Romans s/Isère, dans la Drôme, et mon premier site s'appelait : Pages de Romans.

J'ai créé ce site, Web Side Stories (appellation dont je suis l'auteur et qui a été copiée souvent ) en l'an 2000, lorsque j'étais en poste à la Réunion de 1996 à 2007.

On critique beaucoup le manque de confidentialité de notre époque mais un des avantages est quand même qu'il est difficile de nos jours de ne pas laisser de traces. Or, les traces, quand on est jeune, on s'en fiche comme de sa première blenno. Mais lorsqu'on a dépassé les 65 ans, comme moi, et que l'on ne croit plus à grand chose, il n'est pas désagréable de savoir qu'on laissera quelques traces de son (bref) passage sur cette terre.

On peut très bien supporter l'idée de mourir.  Il est en revanche douloureux de craindre qu'il ne restera rien de nous après notre mort. 

Je m'en voudrais de finir cet article sur une note triste aussi vous préciserai-je, qu'à l'instar de ce cher Woody Allen, ce n'est pas que j'aie peur de la mort, je veux juste ne pas être là quand ça arrivera. 

Jeudi 17 Avril 2014

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