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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



Le danger mortel au petit-déjeuner dont personne ne parle


Le gouvernement cherche-t-il secrètement à détruire votre santé avec ses recommandations pour le petit-déjeuner ? Un article de Santé, Nature, Innovation



Le danger mortel au petit-déjeuner dont personne ne parle
Chère lectrice,
Cher lecteur,


Vous connaissez le refrain officiel des autorités de santé… alliées aux industriels de la malbouffe : « au-petit-déjeuner-tous-les-Français-DOIVENT-prendre » :
un café/thé
des tartines margarine + confiture
des céréales très sucrées avec du lait
un jus de fruit
et un yaourt...

Cauchemar sanitaire !

Les hauts fonctionnaires vous disent que ces aliments aident à bien démarrer la journée. Alors vous êtes prié de remplir votre caddie et de consommer sans rouspéter.

La vérité c’est qu’ils ont intérêt à ce que vous ingurgitiez un maximum de ces produits. Car leur préoccupation n’est pas que vous soyez en bonne santé.

Ce qui les intéresse c’est de soutenir leurs copains à la tête des grands groupes de l’industrie du lait, des céréales transformées, des jus de fruit pleins de fructose, du pain de mie sous plastique, des biscottes à l’amidon, des margarines aux huiles végétales hydrogénées, etc.


Leurs profits comptent plus que votre santé

Ce n’est pas agréable à dire, mais le seul but de ces hauts fonctionnaires du ministère de la Santé est de finir dans les conseils d’administration de l’agroalimentaire ou de l’industrie pharmaceutique, là où il y a vraiment de l’argent à se faire…

Donc vous saisissez que votre santé est loin derrière dans la liste de leurs soucis…

… loin derrière leurs vacances à l’île de Ré et à Courchevel
… loin derrière le bel appartement parisien à rembourser
… loin derrière les études supérieures de luxe des enfants à l’étranger, etc.

Pas étonnant que leur petit-déjeuner « idéal » semble avoir été conçu pour vous rendre malade et déprimé.

Pourquoi est-ce que je vous parle de tout ça ? Parce que je viens de terminer le nouveau dossier du Dr Curtay sur le petit-déjeuner… Et la situation est encore plus grave que ce que je pensais. C’est un cauchemar sanitaire !


Il est urgent de réapprendre à bien manger le matin !

Pour le dernier numéro des Dossiers de Santé & Nutrition, le Dr Curtay s’est penché sur le petit-déjeuner. Et son verdict est inquiétant.
Mais avant d’entrer dans les détails, laissez-moi vous présenter le Dr Curtay :

Le Dr Jean-Paul Curtay est un médecin de renommée mondiale. Pionnier de la nutrithérapie, on lui doit les premières consultations dans cette discipline en France. Le Dr Curtay enseigne la médecine depuis presque 30 ans dans vingt pays. Il a formé environ 6000 médecins.

Ses recherches l’ont conduit à voyager partout dans le monde, à interagir avec de nombreuses cultures et à étudier leurs habitudes alimentaires. Il est d’ailleurs un des experts français du régime Okinawa, du nom de cette petite île japonaise qui compte un nombre record de centenaires.

Depuis des années, le Dr Curtay alerte la population sur le danger du petit-déjeuner qu’on veut nous faire avaler :


Une usine à obèses

Autant vous le dire d’emblée : le « petit-déjeuner idéal » des autorités de santé est un cocktail explosif de sucres rapides, de farines raffinées et de graisses saturées.

Il n’y a qu’à voir le teint poussiéreux des experts qui ont mis au point ces recommandations.

Les sucres rapides (surtout contenus dans le pain blanc, les biscottes, les céréales, les jus de fruits et la confiture) vont faire monter le taux de sucre dans votre sang beaucoup trop vite. Vous serez alors en état d’hyperglycémie.

Pour contrebalancer cet excès, votre corps va sécréter de l’insuline, dont l’action est propice au surpoids : l’insuline vous aide à absorber tout ce sucre, mais ouvre également la voie aux graisses qui entrent dans vos cellules.

Mais ce n’est pas tout :
L’insuline provoque des réactions en chaîne qui vous font prendre du poids sans que vous ne vous en rendiez compte.

Dans ce numéro des Dossiers de Santé & Nutrition, le Dr Curtay vous explique en détail comment votre petit-déjeuner fait fluctuer votre glycémie et vous enferme dans le « cercle vicieux » des sucres rapides. Mais pas d’inquiétude, car il vous explique également comment en sortir…


Un incendie dans vos cellules


Le petit-déjeuner classique ne se contente pas de vous faire prendre du poids. Il favorise aussi l’inflammation. Le phénomène de glycation, conséquence du pic de glycémie qu’entraînent les sucres rapides, fait partie des responsables. Mais il n’est pas seul.

Les graisses saturées et les graisses trans accroissent l’inflammation de votre organisme. Le beurre, la margarine, les viennoiseries en contiennent amplement, de quoi les bannir de votre petit-déjeuner.

Les acides gras saturés, enfin, rigidifient les membranes de vos cellules – y compris de vos globules rouges – et rendent votre sang plus visqueux. Un terreau plus que favorable à l’apparition de maladies cardio-vasculaires…


L’arnaque du café


Je vais être franc : le café n’a pas que des effets négatifs sur votre corps. Il est même recommandé dans certains cas : par exemple, il est riche en polyphénols qui aident à prévenir le diabète.

Dans ce cas, pourquoi est-ce une arnaque ?

En fait, les autorités sanitaires oublient de préciser que la caféine a une multitude d’effets néfastes. Elle accélère le rythme cardiaque, élève la sécrétion d’histamine dans l’estomac (puissant inflammatoire, déclencheur de la production d’acide chlorhydrique). Et après le coup de fouet, elle accentue la fatigue et le stress.

Nota bene
: si vous buvez plus de trois tasses par jour, vous vous exposez à de gros risques :
glaucomes,
fausses couches,

cancers de l’estomac et de la prostate…

L’arnaque est d’autant plus flagrante que d’excellents substituts existent. Dans le prochain numéro des Dossiers de Santé & Nutrition, vous découvrirez des boissons chaudes tout aussi naturelles mais sans les effets indésirables…

Vous découvrirez notamment la boisson qui contribue au bon développement de votre flore digestive (indice : ce n’est pas le thé). Le Dr Curtay vous livrera aussi ses secrets pour choisir le meilleur thé.


Apprenez à manger dans l’ordre

Le Dr Curtay insiste beaucoup sur le rôle de chaque repas pour consommer les bons nutriments au bon moment. Trop peu de gens s’en soucient.

Votre corps n’est pas en demande des mêmes nutriments selon s’il sort du sommeil, se trouve au milieu d’une journée d’efforts, ou à l’approche du coucher. Savez-vous quel macronutriment doit-être privilégié au petit-déjeuner ? Cette information peut transformer votre quotidien : vous aurez de l’énergie à revendre toute la journée, mais vous serez assez calme le soir pour vous endormir rapidement.

En dépit de leurs conseils avisés et de leurs beaux discours, les pouvoirs publics n’en disent rien. Ils ne vous donnent aucune clé pour composer votre petit-déjeuner selon vos envies, sans compromettre votre santé et votre énergie.

De plus, une bonne alimentation doit être équitablement répartie sur les trois grands repas de la journée. Dans ce numéro des Dossiers de Santé & Nutrition, vous apprendrez beaucoup sur l’équilibre nutritionnel de votre journée :

Le macronutriment à privilégier pour chaque repas
La juste répartition des apports caloriques entre petit-déjeuner, déjeuner et dîner
Le nombre optimal d’heures entre le dîner et le petit-déjeuner du lendemain
L’erreur à ne pas commettre avec le dîner

Faites-vous un « petit déjeuner de gagnant »

Le Dr Curtay ne se contente pas de démonter les idées reçues à propos du petit-déjeuner. Vous trouverez dans les Dossiers de Santé & Nutrition des conseils pour vous préparer un petit-déjeuner qui satisfera à la fois vos goûts et votre organisme.

Une erreur récurrente est de « s’assommer » avec un petit-déjeuner qui accroît votre sérotonine (l’hormone qui apaise). Vous qui devriez être motivé et combatif… vous vous sentez alourdi, faible… Encore endormi.

Le petit-déjeuner devrait être un accélérateur, le repas qui vous permet de « décoller », pas de vous écraser… Si votre petit-déjeuner ne vous rend pas plus énergique, il est sûrement mal adapté. Vous manquez probablement du nutriment essentiel du petit-déjeuner.

Vous découvrirez comment optimiser votre petit-déjeuner et trouver votre formule, celle qui vous plaît tant qu’elle vous sert. Vous apprendrez à lutter contre l’inflammation, à privilégier les vitamines, minéraux et principes actifs les plus utiles au lever.


Ne laissez pas vos endorphines vous manipuler !

Les endorphines sont des opiacés cérébraux qui procurent une sensation de bien-être, et sur lesquelles jouent la publicité, les grands groupes et leur marketing… En essayant d’associer leurs produits à des situations agréables ou familières.

Ce sont elles qui rendent le changement difficile. Le plus compliqué n’est pas de savoir quoi changer, c’est d’agir concrètement. Défaire des habitudes, même mauvaises, est une épreuve. Vous aviez votre confort, vos façons de faire, et il faudrait tout recommencer ? Votre cerveau n’est pas d’accord. Même avec toute la bonne volonté du monde, vous y opposerez inconsciemment une forme de résistance, notamment due aux endorphines.

Les habitudes sont des « niches affectives » qui jalonnent le quotidien et lui donnent un aspect familier. Les nouveautés mettent environ trois semaines à devenir des habitudes. Ensuite, elles déclenchent la sécrétion d’endorphines à chaque fois qu’elles sont répétées.

Vous pouvez agir sur la sécrétion des endorphines. Vous pouvez reprendre le contrôle sur vos pulsions, changer vos habitudes et votre rapport à l’alimentation. Cela ne requiert que la seule force de votre volonté, si vous déployez celle-ci avec un peu de technique.

A la fin de ce numéro des Dossiers de Santé & Nutrition, le Dr Curtay vous dévoile sa méthode, qu’il a mise au point et pratique lui-même pour être libre de ses choix et ne pas céder aux sirènes du marketing.

Jean Marc Dupuis
http://santenatureinnovation.com


N.D.L.R

Je suis entièrement d'accord avec Jean Marc Dupuis sur les effets nocifs du petit déjeuner généralement "prescrit" par les autorités censés nous vouloir du bien.

En revanche, depuis quelque temps, moi qui en était un grand amateur, j'ai complètement abandonné le petit déjeuner. J'applique désormais le jeûne intermittent, c'est à dire que je ne mange rien entre le repas du soir et 14 heures le lendemain. De plus, je fais du sport pendant cette période.

Attention !Faire du sport à jeun demande un certain entraînement. Si vous n'avez pas l'habitude, vous pouvez facilement faire un malaise. Mais si vous y allez progressivement et si vous avez une santé correcte, cela ne pose pas de problèmes.

Sur quoi est basé le jeûne intermittent ? sur une idée contraire à celle développée vers la fin de cet article. A savoir que manger trois repas, même équilibrés, par jour n'est pas bon pour l'organisme. Avec ce système l'organisme ne jeûne véritablement jamais et il s'habitue à recevoir régulièrement de la nourriture. Ce qui empêche toute baisse de poids, et au contraire, favorise la prise de poids.

Le jeûne intermittent est basé sur la théorie selon laquelle nos très lointains ancêtres, les premiers hommes, n'étaient jamais obèses, car ils ne mangeaient jamais à heures régulières ! Il n'y avait pas de McDo à l'époque et sa nourriture il fallait la cueillir ou/et la chasser, ce qui était loin d'être évident en ce temps là. Donc, quand nos ancêtres n'avaient pas de nourriture, ils jeûnaient, quand ils avaient de la nourriture, ils bâfrant !

Comme ils se dépensaient physiquement beaucoup (ils étaient capable de courir après un animal pendant plusieurs jours jusqu'à ce que l'animal meure d'épuisement) ils n'avaient aucun risque de grossir.

Personnellement, ce régime me convient très bien :

J'ai toujours bâfré, en revanche ce n’est que depuis très peu de temps que j’ai commencé à jeûner.

A ma naissance (en 1946) je pesais 5 kg (!) et depuis j'ai toujours été un gros mangeur. Quand j'étais enfant j'étais carrément boulimique, mais mince comme un fil, car hyperactif. Ceci, jusqu'à 30 ans, quand, en poste à ST Barth (Antilles Françaises) j'ai commencé à boire festif. Nous étions très festifs, avec mes collègues de l’époque, donc nous buvions beaucoup. De plus, l'alcool était hors taxes !Cela a duré 16 ans. Comme je faisais du sport régulièrement, je n'étais pas obèse mais j'avais chopé un bon durillon de comptoir, autrement appelé oeuf colonial.

En rentrant en France, pour 4 ans seulement, j'ai arrêté l'alcool et la cigarette (!) et j'ai fait beaucoup de vélo. Mais toujours en bâfrant. Mon pied, c'était de faire 50 km à vélo, le matin de bonne heure, et de terminer par un sandwich de déménageur et un ou deux ballons de blanc de Savoie. Pour faire glisser.

Je suis reparti pour 11 ans à la Réunion où, récemment divorcé, j'ai beaucoup mangé au restaurant et donc pas mal pris du poids. Jusqu'à 95 kg, pour 1,80 m alors que mon poids de forme est de 78 kg.

J'ai changé tout cela quand j'ai pris ma retraite en 2007. J’avais le temps, j’étais célibataire, l’île est magnifique ‘en dehors des embouteillages) toutes les circonstances étaient propices à de grands changements. J'ai commencé à faire du sport vraiment tous les jours, en activité ce n’était pas toujours possible. Surtout de la marche, mais en montagne, à manger moins au restaurant (un peu contraint et forcé, à la Réunion la vie est très chère) et à boire peu. Depuis mon retour des Antilles, je n'achète jamais d'alcool pour la maison, à part une bière par jour. Je fais très souvent plusieurs km à pied pour aller chercher une bière. Je suis finalement descendu à mon poids de jeune homme, 76 kg.

Deux ans après mon départ à la retraite je suis parti m'installer en Thaïlande. J'ai de nouveau souvent mangé au restaurant, c'est très bon marché dans ce pays, mais la nourriture thaï ne fait pas grossir, et j'ai fait encore plus de sport et lu beaucoup de choses sur Internet relatives à la nutrition.

Je suis resté sept ans en Thaïlande et j'en suis parti pour la Crète où je réside depuis 18 mois. Ici, les restaurants ne sont pas chers, sauf les pièges à touristes habituels, la nourriture est très saine (le régime Crétois est bien connu des nutritionnistes) et pas chère du tout car tout est produit sur place. C'est la première île où j’habite qui n'importe pas sa nourriture. Fruits, légumes, poissons, fromages, viande (chèvres omniprésentes dans l'île) pas de vaches, la viande de bœuf importée est chère et pas terrible, je n'en mange pratiquement plus et je suis devenu accro à l'agneau. Qui, au passage, était très difficile à trouver en Thaïlande car c’est là bas la viande des musulmans, et les thaïs, bouddhistes, n’aiment pas les musulmans.

Quand j'étais jeune je détestais les fruits, les légumes et le poisson. En Crète, je ne mange plus que cela ! De plus, en Crète, je fais beaucoup plus d'exercices (entre 4 et 10 km de marche rapide par jour) Pour la bonne raison, qu'ici, à part en hiver, il ne pleut pratiquement jamais (300 jours d'ensoleillement par an !) Je n’ai pas choisi cette destination au hasard ;-)

Mon régime actuel :

  • A 13-14 h petit déjeuner copieux : 3 œufs, deux tranches de bacon, 1 saucisse, 2 tranches de pain grillé.
  • Ou, un jour sur deux, salade Crétoise : tomates, oignons, olives, poivrons, concombres, salade verte, feta, le tout copieusement arrosé d'huile d'olives pays)
  • Ou : Salade tomates toujours, mais avec Tarama (oeufs de poissons) ou Tsatsiki (concombres et yaourt)
Après ma sieste quotidienne (voir plus loin) je mange souvent un avocat, délicieux en Crète, avec un peu de sel et de l'huile d'olives.

J'oubliais également, tous les jours, après ma toilette, un kiwi à la cuillère (pour la vitamine C) Je faisais déjà cela avant le jeûne intermittent, et je continue parce que ça donne bien la pèche.

Vers 19h30 repas copieux à la maison, ou au restaurant. Hier soir, par exemple, je me suis fait des lentilles, une assiette mais maous costaud. En fait,ce n’était pas une assiette, maus un...plat. Je me fais souvent du poisson (au four, pas grillé : ça pue dans la maison, et les grillades trop fréquentes sont cancérigènes) Le tout, arrosé avec ma bière quotidienne (66 cl) qui me sert à l'apéritif, et au repas.

J'applique mon jeûne intermittent tous les jours depuis deux mois environ et il me convient parfaitement. J'étais déjà habitué à faire du sport à jeun, donc, cela n'a pas été trop pénible de m'habituer à ne pas manger jusqu'à 14 h. Je souligne que cela fait quand même chaque jour , de 20h la veille à 13-14 heures le lendemain, 17-18 heures de jeûne ! Mon organisme s'est parfaitement habitué à ce "régime" et, sauf au dîner, où j'ai un féroce appétit, je ne souffre pas de la la faim et je ne mange jamais entre les repas, à l'exception d'un fruit, au réveil de ma sieste (1 heure, montre en en main, tous les jours depuis 40 ans).

Mon prochain objectif : parvenir à faire, un jeûne total (à l‘exception de l’eau ou du café) d’une journée, chaque semaine. Pas le vendredi (ce serait triste pour un début de week-end) mais le lundi par exemple. Nos ancêtres, très rapprochés ceux-là, pratiquaient régulièrement ce type de jeûne et il y avait certainement beaucoup moins d’obèses qu’aujourd’hui. A part peut être chez les riches et les gens du culte, si on s’en fie à l’imagerie de l’époque, mais comme aujourd’hui, il y avait beaucoup plus de pauvres que de riches, et les pauvres avaient rarement l’occasion de s'empiffrer. A l’époque, le gras, c’était pour les riches.

Au demeurant, il est curieux de constater que le “progrès” en la matière a inversé les choses. Aujourd’hui les riches mangent moins, mais beaucoup mieux, et les pauvres, pour oublier leur condition, s'empiffrent de saletés bon marché. Ce faisant, ils abrègent leur existence et enrichissent un peu plus les riches et tous ceux qui leur tournent autour, comme les professions libérales, les médecins et pharmaciens etc.

N.B
Pour ceux qui découvrent ce site, j'aurai 71 ans au mois de décembre prochain. Je joins ci-après la photo que j'ai prise lors de mon 70ème anniversaire. Non, pour “faire le beau”, à 70 ans, on a abandonné toute idée de séduction. De plus je suis célibataire depuis vingt ans, et très heureux de l’être. C’est juste pour démontrer d’une part que je fais ce que je dis et d’autre part, une fois encore, que la vieillesse n’est un naufrage que si l’on n’apprend pas à nager.

Guy DERIDET


Le danger mortel au petit-déjeuner dont personne ne parle

Mercredi 23 Août 2017

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1.Posté par Savant Christiane le 27/08/2017 09:30
Bonjour Guy,
Quel bonheur de lire votre article, je l'ai lu et relu, bu et mangé et je le relirai encore et encore ... Vous êtes superbe !
Je serais heureuse de recevoir régulièrement d'autres articles qui me redonne toujours plus de punch.
Je suis à la retraite depuis 2015 ( à 65 ans), après 5 années de loyaux services en tant que secrétaire de Direction durant 8 ans,
ensuite secrétaire médicale en milieu hospitalier durant 37 ans, mais je ne m'y habitue toujours pas !
j'avoue être un peu perdue, je n'ai plus envie de sortir ...
Mais en vous lisant, cette envie de changer ma vie, de redevenir active me prend aux tripes.
En vous écrivant, quelques larmes, mais de bonheur m’inondent ... Merci.
Dans l'espoir de vous lire très bientôt, j'espère, recevez toutes mes amitiés.
Christiane.

2.Posté par Patricia le 21/11/2017 17:41
Bonjour à vous,

Bravo quel courage, c'est magnifique de voir qu'il y a encore de vrai gens...

J'ai également le même état d’esprit à 56 ans,manger équilibrer.

Dans l'attente de vous lire

Patricia

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