Cliquez sur le lien pour écouter le reportage de France Inter en MP3 :
http://goo.gl/Ygrsys
N.D.L.R
Cette histoire est scandaleuse et inadmissible en elle-même mais les charognards seront toujours des charognards.
Ce qui est au moins aussi scandaleux c'est l'omerta qui règne en Bretagne, et sans doute ailleurs en France, dès que des entreprises importantes de ce secteur sont en cause : le ministère de l'agriculture, le ministère de l'Economie, celui de la Justice, les syndicats locaux sont aux abonnés absents. Sans parler des services de l'Environnement qui ont du pain sur la planche dans cette région.
Cette affaire date de 2009. Elle a fait l'objet d'une condamnation par un tribunal pour faute inexcusable et en 2014 le magistrat en charge de l'affaire est lui aussi aux abonnés absents et n'a même pas ordonné une instruction !
Je ne serais pas aussi optimiste que le délégué syndical, qui lui a fait son boulot, à la fin du reportage. L'entreprise incriminée n'a même pas besoin de faire appel, elle fait confiance dans la justice de son pays... pour ne rien faire !
Comme disait ce bon M. Queuille : "En France, il n'est de problème qu'une absence de solution ne puisse résoudre."
http://goo.gl/Ygrsys
N.D.L.R
Cette histoire est scandaleuse et inadmissible en elle-même mais les charognards seront toujours des charognards.
Ce qui est au moins aussi scandaleux c'est l'omerta qui règne en Bretagne, et sans doute ailleurs en France, dès que des entreprises importantes de ce secteur sont en cause : le ministère de l'agriculture, le ministère de l'Economie, celui de la Justice, les syndicats locaux sont aux abonnés absents. Sans parler des services de l'Environnement qui ont du pain sur la planche dans cette région.
Cette affaire date de 2009. Elle a fait l'objet d'une condamnation par un tribunal pour faute inexcusable et en 2014 le magistrat en charge de l'affaire est lui aussi aux abonnés absents et n'a même pas ordonné une instruction !
Je ne serais pas aussi optimiste que le délégué syndical, qui lui a fait son boulot, à la fin du reportage. L'entreprise incriminée n'a même pas besoin de faire appel, elle fait confiance dans la justice de son pays... pour ne rien faire !
Comme disait ce bon M. Queuille : "En France, il n'est de problème qu'une absence de solution ne puisse résoudre."
Micron et le "shadow" boxing