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Ce que l'on ne vous dit pas sur l'orgasme féminin

Six questions sur l'orgasme féminin, une vidéo de Charles.co, clinique digitale de la sexualité.



Ce que l'on ne vous dit pas sur l'orgasme féminin
Analyse et résumé de cette vidéo, par Claude 2.1, via Perplexity.ai 
 


Six questions sur l'orgasme féminin

Url :
https://www.youtube.com/watch?v=P-x6mCDBvSk  

Chaine Youtube : Charles.co    
 

# Comprendre l'orgasme féminin: mystères et secrets
 

L'orgasme féminin reste encore mal compris et entouré de nombreux mystères, malgré les avancées scientifiques récentes. Dans cette vidéo, le Dr Charles nous éclaire sur les zones d'ombre actuelles et ce qu'il faudrait élucider pour mieux appréhender le fonctionnement de l'orgasme chez la femme. 
 

## Les 6 questions clés à résoudre
 

Selon le Dr Charles, 6 grandes questions restent encore sans réponse définitive concernant l'orgasme féminin:
 

1. **Pourquoi existe-t-il un organe, le clitoris, dédié uniquement au plaisir chez la femme?** Contrairement au pénis, le clitoris ne possède pas de fonction reproductive. Son rôle exact demeure mystérieux sur le plan évolutif.
 

2. **Quelle est la fonction précise de l'orgasme féminin?** Les théories actuelles (contractions utérines, motivation pour la reproduction, etc.) sont incomplètes. 
 

3. **Pourquoi n'y a-t-il pas de « point de non-retour» de l'orgasme chez la femme?** À l'inverse de l'homme, l'orgasme féminin peut s'interrompre à tout moment si la stimulation cesse.
 

4. **Comment le clitoris est-il devenu l'un des organes les plus innervés du corps féminin?** On ignore à quel moment de l'évolution cette densité exceptionnelle de terminaisons nerveuses s'est développée.
 

5. **La taille et la position du clitoris influent-elles sur la facilité à atteindre l'orgasme?** Peu d'études explorent ce lien entre anatomie précise du clitoris et fonctionnement sexuel.
 

6. **Comment fonctionne l'orgasme féminin sur le plan neurochimique?** On ignore précisément quelles zones cérébrales et hormones régulent le début et la fin de l'orgasme dans le cerveau féminin.
 

## Au-delà de la dichotomie : clitoridien vs vaginal 
 

Le Dr Charles nous met en garde contre la distinction entre orgasme clitoridien et vaginal, qui reflète une vision masculine. L'orgasme féminin est bien plus complexe et varie pour chaque femme. Il vaut mieux parler « d'orgasme féminin» avec différentes composantes, plutôt que de le catégoriser.
 

## Les 6 éléments de l'orgasme féminin 
 

Selon les études scientifiques, six grandes zones participent au déclenchement de l'orgasme chez la femme. Chaque femme pioche dans ces « ingrédients » pour composer son propre « orgasme à la carte » :
 

1. **Le clitoris**: zone très sensible dont la stimulation adéquate est essentielle. La « zone gâchette » ou point G, pression, fréquence, etc.
 

2. **La vulve et ses alentours**: zone érogène souvent oubliée, dont la stimulation peut intensifier le plaisir (lèvres, entre vagin et anus, etc.)
 

3. **Le vagin**: pas seulement dû aux va-et-vient, plutôt aux mouvements de pression/inclinaison ciblés sur les zones sensibles (point G, premiers centimètres, etc.)  
 

4. **Le bassin et le périnée**: les contractions et ondulations légères participent à « masser » les organes et accentuer l'excitation.
 

5. **La tête**: l'état mental, la relaxation, la confiance sont indispensables pour « autoriser » l'orgasme physiologique.
 

6. **Les autres zones érogènes**: seins, cou, lèvres… Les caresses sur tout le corps peuvent potentialiser l'excitation selon les préférences.

En résumé, cette vidéo nous rappelle que l'orgasme féminin, dans toute sa complexité, recèle encore de nombreux secrets. Plutôt que de vouloir l'enfermer dans des schémas normatifs, il vaut mieux explorer à deux cette carte au trésor aux multiples facettes.

N.D.L.R

L'orgasme féminin est encore trop peu connu et trop complexe pour être enfermé dans des catégories.

Chaque femme a son propre orgasme, qui peut en plus changer au cours de sa vie, et même lors d'un rapport, en fonction du comportement du partenaire.

En effet, dans cette vidéo, le docteur n'évoque pas un facteur, si j'ose dire, important dans l'orgasme féminin : le partenaire !

Comme dans l'orgasme masculin, ce que les femmes ignorent souvent, il existe des degrés dans l'orgasme féminin. Ces degrés peuvent dépendre de sa condition physique à ce moment-là, de son humeur, mais également, en bonne partie, du comportement du partenaire.

Qu'est-ce qui est important dans le comportement du partenaire masculin pour favoriser l'orgasme féminin ?

À mon avis, en fonction de mes expériences personnelles dans ce domaine qui furent multiples, très variées, cosmopolites, et en majorité avec des femmes qui faisaient commerce de leur corps. Ce qui est loin d'être une circonstance favorable en matière d'orgasme féminin 😉. Coucher avec ce genre de femmes, c'est à la portée de n'importe quel homme. Les faire jouir jusqu'à les rendre multiorgasmiques, c'est un tout autre challenge.

1/ Le partenaire masculin doit être détendu, si j'ose dire, c'est-à-dire bien dans ses baskets (qu'il aura pris la précaution d'enlever quand même) et surtout pas stressé. Ceci est, pour beaucoup de femmes, la chose la plus importante. Ce qui est évidemment impossible lorsqu'on est jeune et débutant, mais ce qui doit être recherché tout au long de son existence. Si l'on souhaite, bien sûr, devenir un partenaire sexuel convenable. Mais, beaucoup d'hommes n'en ont absolument rien à cirer. 

2/ Il doit constamment être attentif, au plaisir de sa partenaire et pas au sien. Cela s'appelle l'altruisme, et en matière sexuelle, c'est une qualité peu répandue chez les hommes.

3/ Une autre condition importante pour le partenaire, c'est de tenir la distance. Autrement dit : la qualité du partenaire tient beaucoup moins dans la longueur de son pénis que dans le nombre de minutes qu'il est capable de tenir sans parvenir lui-même à l'orgasme. Il doit percevoir si sa partenaire en est au stade « stop » ou « encore ». Dans ces conditions, il apprendra vite que les femmes ont dans ce domaine des capacités qui surpassent largement les nôtres. 

En effet, en matière de multiorgasmes, si un homme jeune peut éjaculer plusieurs fois lors d'un rapport (mais cette disposition diminue très vite avec l'âge) les femmes, à tous les âges, sont capables d'éprouver de multiples orgasmes. Sans fatiguer le moins du monde, alors que les hommes qui ont joui plusieurs fois finissent généralement sur les rotules.


Quant à l'éjaculation précoce, sauf problème médical, elle se soigne facilement. Lorsque j'étais jeune homme, j'avais ce problème, comme la plupart des hommes au début de leur vie sexuelle. Je l'ai rapidement résolu en me masturbant une fois, voire plusieurs fois avant d'avoir un rapport sexuel. Ce qui, lorsqu'on est jeune, n'est pas un problème et s'avère radical !


La nature est cruelle
Comme dans beaucoup d'autres domaines, les hommes ne sont pas égaux devant la sexualité. Et, pas seulement en termes de longueur de pénis, qui comme je l'ai expliqué souvent ici, n'est pas un facteur déterminant. Au contraire, cela peut même être un gros problème pour certains hommes "sévèrement burnés", comme disait l'autre. 

Avoir un gros pénis, cela permet sans doute de parader dans les vestiaires, mais encore faut-il pouvoir le placer.

Quant aux femmes capables d'accueillir ce genre d'hommage sans broncher, elles ne sont pas nombreuses, en dehors des films pornographiques où comme les stars masculines, elles sont (difficilement) sélectionnées.

Il faut savoir que la longueur moyenne d'un vagin est, comme la nature est bien faite, d'environ 15 cm. C'est-à-dire, grosso modo, la même dimension moyenne que pour les hommes, selon les dernières statistiques.

L'importance de la testostérone
Il ne faut pas non plus oublier que ce qui permet à certains hommes d'être capables de remplir les trois conditions précédentes, c'est le fait d'avoir un corps qui dispose de beaucoup de testostérone.

Pour savoir, messieurs, où vous en êtes à ce sujet, songez seulement à votre réaction habituelle après avoir éjaculé.  Si vous n'avez qu'une envie, c'est de dormir, et que vous ne pouvez pas la réfréner, ce n'est pas votre faute, mais vous n'avez pas assez de testostérone. 

Bien sûr, on peut agir, avec certains aliments, et avec une activité physique régulière, sur son taux de testostérone, mais le facteur génétique est, à mon sens, beaucoup plus important.

La plupart des hommes, de ce point de vue, déclinent très rapidement à partir de 40 ans, cependant certains hommes peuvent être testéronés et actifs jusqu'à un âge très avancé. Jusqu'à être capables de procréer après 80 ans. Néanmoins, là encore, ce sont des exceptions qui ne se rencontrent pas à tous les coins de rue. 


 

 


Vendredi 23 Février 2024

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